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 James Ohlsson | Les Aubes sont navrantes.

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James Ohlsson
James Ohlsson
All I Need


▪ depuis quand ? : 25/12/2011
▪ conneries : 17
Féminin
▪ venue au monde : 12/06/1993
▪ et l'âge ? : 30
▪ groupe : All I Need.
▪ humeur : Stable.

« — you are my soulmate »
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MessageSujet: James Ohlsson | Les Aubes sont navrantes.   James Ohlsson | Les Aubes sont navrantes. EmptyMar 27 Déc - 17:56


James Ohlsson
Je suis une bête, un nègre. Mais je puis être sauvé.


Nom : Ohlsson (anciennement Hudson)
Prénom(s) : James
Âge et date de naissance : 30ans, né le 12/03
Groupe : All I need.
Profession : Commissaire de police.
Origine : Anglaise.
Nationalité : Suédoise.
Quartier d'habitation : Rotebro.
Lié : Alan Ohlsson.
Statut marital : Divorcé.



Caractère
Je ne me crois pas embarqué pour une noce avec Jésus-Christ pour beau-père.

_____« James ? C'est un type bien. »
_____Un type bien. Un bon gars. Un mec sympa. C'est ce que tout le monde dit sur James. Et ce tout le monde a raison. Il est agréable, drôle, accueillant, sûr de lui, intelligent, ouvert, responsable et calme. Lorsque l'on parle avec James, on se détend très vite. On a vraiment l'impression d'être en sécurité, que rien risque de nous arriver, qu'il ne va pas nous juger ou nous regarder de haut. Il fait disparaître le stress et fait apparaître les plus gros problèmes comme des futilités. Rien n'est grave avec James : on va trouver une solution. Et si on a d'abord un temps de recul en apprenant qu'il est policier, on comprend vite qu'il l'est par passion. James aime s'occuper des gens, il aime se sentir responsable et protéger les gens. Déjà parce qu'il sait qu'il le fait bien. Ensuite parce que c'est un peu tout ce qu'il sait faire.
_____Il est consciencieux et aime que les choses soit bien faites. Il prend son travail à cœur et est le plus souvent apprécié de ses collègues. Enfin, il est peut-être un peu trop droit et sérieux pour eux, mais c'est parce qu'il a du mal à mélanger travail et vie privé. Au bureau, il est presque impossible de le faire rire à une blague alors que, après le service, dans un bar sympa et avec une chope de bière dans la main, il peut même être assez boute-en-train. Alors que son bureau est d'une netteté et d'une propreté sans pareille, il devient presque bordélique de retour chez lui. Et s'il fait parfois un peu peur aux nouvelles recrues au début, ils apprennent vite que c'est juste sa manière de faire les choses et qu'il faut juste éviter de lui raconter ses vacances alors qu'il travaille. Il suffit d'attendre la pause clope.
_____Mais il ne faut pas croire que cette variation fait passer James de blanc à noir ou de rouge à bleu. Qu'il soit en service ou devant sa télé, James reste quelqu'un d'honnête, plein de tact, très calme, apaisant et incroyablement doux.

_____Au premier abord, oui, peut-être, tu vas être curieux de James. Ce n'est pas tous les jours que l'on croise un grand black comme lui dans le nord de la Suède. Mais bien vite, tu vas comprendre que c'est juste un type normal. Ni laid ni beau, sans véritable charisme, sans talent particulier, sans passion exceptionnelle. Il mène une petite vie rangée et saine. Pas trop rangée ni trop saine non plus, juste assez de bordel, d'alcool et de tabac pour être quelqu'un de normal. On peut compter sur lui en cas de problème, oui, d'accord, et après ? S'il détend, s'il est intéressant, s'il est agréable, il n'est pas renversant. C'est un bon gars quoi. Un mec à inviter à l'apéro avec sa femme pour parler un peu politique et travaux. Éviter les mauvaises blagues sur les flics et on passe une excellente soirée.
_____Au final, on ne se retourne pas vraiment sur James. On le voit passer une fois, c'est bon, on connait la chanson. Surtout qu'il est si facilement éclipsé par son frère, Alan. Alan et son exubérance, son beau sourire, son style, son charisme, sa manie d'attirer les gens et les ennuis. James, lui, n'attire personne comme un aimant. Une rencontre avec Alan, c'est comme un coup de foudre, un truc qui te tombe dessus, insupportable, incroyable, super énervant ou adorable, il provoque immanquablement une réaction forte. Alors que James, c'est quelque de lent, progressif, on l'oublie facilement au profit de ce petit crâneur. On ne raconte pas vraiment de rumeurs sur James. On ne fantasme pas sur James. On ne se pose pas de questions sur James. On ne s'inquiète pas de James. On n'est pas fasciné par lui, on ne le regarde pas de travers, on ne l'admire pas.
_____Ouais, t'as réussi ta vie. T'as fait des études, tu es commissaire de police, tu es marié, tu as une petite fille adorable, tu habites une jolie maison, tu vas à la messe tous les dimanches, tu fumes des Malboro, tu aimes la bière et le foot et tu vas divorcer à 30ans. Quoi d'incroyable là-dedans ?

_____Mais James, s'il arrive à être tout cela, à être aussi propre, aussi simple, s'il arrive à atteindre l'idéal que ses parents adoptifs ont collés en lui, tout cela c'est grâce à Alan. Alan, son frère adoptif, son salopard de scouateur, ce crétin de délinquant, cet irresponsable navrant. Il se le coltine depuis, quoi, treize ans ? Oui, quelque chose comme cela. Treize ans qu'il est Lié à cet hurluberlu et il était encore en vie... Dieu seul sait comment. Alan c'est sa bête noire, son petit diable personnel qui lui souffle à l'oreille toutes les insanités qu'il pourrait faire, toutes les saloperies qu'il a fait, qui lui rappelle qu'il n'est qu'un homme qui peut juste faire de son mieux, jour après jour, qu'il n'était qu'un pauvre damné condamné à trainer son boulet jusqu'à leur mort. Alan est tout simplement insupportable. Une tête à claque finie. Il accumule tous les défauts, toutes les conneries, tous les problèmes possible. Un aimant à emmerdes. Et c'est pour cela que James peut tout lui faire.
_____Personne ne peut prétendre connaître James s'il ne l'a pas vu en compagnie de son frère. En face de lui, il devient agressif, brutal, irrespectueux, vulgaire et pourtant incroyablement détendu. Toutes les horreurs que peut penser James, toute la violence qu'il peut accumuler, tous les sentiments qu'il a pris l'habitude d'enfermer au plus profond de lui ne peuvent sortir que lorsque Alan est avec lui. Et sans les soirées à gueuler sur son frère tout en se saoulant, James serait rapidement devenu fou. Ou aurait juste été un parfait connard comme vous et moi, au lieu de représenter l'homme idéal à qui sait le trouver.
_____De plus, James a besoin de ce boulet. Il sait pertinemment que, sans lui, Alan serait... serait... mort une centaine de fois parce que personne n'était venu arrêter les brutes qui le frappait ? Mort une autre centaine de fois par overdose sans que quiconque ne le remarque ? Aurait au moins un million d'euros de dettes en plus sur la conscience ? (Ce qui était une petite somme face à l'abysse que représentait les dettes de ce dealer de basse-cour.) Égorgé une bonne centaine de fois par une conquête ratée ? N'aurait jamais eu de lieu où dormir ? N'aurait eu aucun moyen de s'habiller ? Se serait laissé mourir de faim quelques milliards de fois parce qu'il ne sait pas faire autre chose que commander des pizzas ? Bref, sans James, Alan ne serait pas ici aujourd'hui. Et cela, James le sait et en a besoin. Il a besoin de se sentir responsable, d'être coupable, d'avoir un poids sur les épaules : sauf cela, il serait incapable de marcher droit.
_____Il a été chargé d'élever son frère, de porter les rêves de ses parents, de s'occuper de sa femme, d'élever une petite fille, de diriger ses subalternes, de protéger la communauté, de sortir les poubelles tous les mardi. James est incapable de marcher droit pour lui-même, si personne n'est là pour lui rappeler qu'il n'a pas le droit de baisser sa garde, il serait perdu, complètement déstabilisé et angoissé, il perdrait son calme et son assurance légendaire.

_____James dépend d'Alan au moins autant qu'Alan dépend de lui. Et ça lui fout les boules. Ça le fait gerber. Ça le dégoute. Il est dépendant de ce sale mioche pourri gâté (par lui). Les plus beaux moments de sa vie, il sait qu'il les a passé avec Alan à dépasser les limites du raisonnable. Il sait qu'il est physiquement, moralement et sentimentalement incapable de jeter son frère dehors. Il ne peut pas se détacher de lui.
_____Il lutte, James. Il se couvre de missions, de responsabilité, il devient de plus en plus irréprochable et fur et à mesure que le temps passe pour s'arracher à cette addiction. Mais rien n'y fait. Sans Alan, il n'est rien qu'un type normal et ennuyeux.



Histoire
Un jour, j'ai assis la Beauté sur mes genoux. -Et je l'ai trouvée amère. - Et je l'ai injuriée.

_____James Ohlsson ne voulait pas y croire. Assis à la table de la salle à manger, les poings sur la table, le document sous les yeux, il refusait encore d'y croire. Il avait trente ans, plutôt bel homme, bonne situation, son bac en poche, un master en droit, un emploi stable, marié depuis une dizaine d'années, une petite fille de cinq ans à présent, une grande maison, une belle montre, il ne fumait pas trop, ne buvait pas trop, ne battait pas sa femme, n'était pas machiste, avait une vie sociale correcte, n'était pas (trop) en froid avec sa famille, était intégré à la société, avait des voisins charmants et ne regardait même pas (trop) le football. Rien d'exceptionnel, peut-être, mais cela lui suffisait.
_____Mais non, aujourd'hui, les papiers étaient arrivés. Et il fallait qu'il les signe. Alors qu'il n'en avait absolument aucune envie. Ça ne menait à rien cette histoire. Jusque là, elle avait juste boudé quelques jours chez sa mère puis était revenue. Mais là, cela faisait de longues semaines (quelques mois ?) que James et son frère se nourrissaient de pizza ou de plats surgelés. Son frère. Tout était de sa faute. Connard va. Le policier se prit la tête dans les mains. Il ne pouvait pas être divorcé à son âge, merde ! Alors qu'il n'avait rien fait de mal, rien du tout. Et qu'ils avaient toujours réussi à passer au dessus de tout ça... Pourquoi craquer maintenant ? Après toutes ces années ? Il fallait juste qu'elle attende un peu, un tout petit peu encore. Il aurait bien fini par se calmer, c'était l'âge...
_____« Bon James, tu nous le signes ce putain de papier ? Elle est partie et puis c'est tout ! Elle reviendra pas ta meuf ! Et tant mieux, j'peux te l'dire !
-Merci de ton soutien Alan...
-Nan mais moi j'dis ça pour toi hein. Tu m'en seras reconnaissant plus tard.
-Ouais ouais... Bon. J'ai faim. Chinois ?
-ENCORE !? »


_____Cela faisait quoi, quatre ou cinq ans que son frère était arrivé ici. Lucia venait de naître et éclairait la maison de sa bonne humeur et de son sourire merveilleux. Il vivait une vie parfaite, loin de sa famille et d'Alan. Oui, bien sûr, il leur rendait visite une fois par semaine et invitait parfois (rarement) l'autre débile à la maison. Ils étaient Liés, après tout. Mais rien de plus, et cela lui convenait bien. Parce que James avait de plus en plus peur de son frère, sa crise d'adolescence durait un peu trop longtemps pour être honnête. Il était trop gâté. Par leurs parents. Par lui, son grand frère. Par les professeurs. Par tout le monde. Il s'en prenait plein la gueule mais ce n'était jamais grave. Rien n'était jamais grave avec Alan. C'était juste qu'il était con.
_____Il était arrivé un dimanche. Vlan, ton jour de congé explosé. Bienvenue dans le monde réel James, ton crétin de frère est à la porte et veut se faire héberger. Et bien sûr, comme un con, tu réponds présent.
_____« Coucou frangin, tu m'héberges cette nuit ?
-Mouais. Et ton bac ?
-Hé, tu vas pas me croire ! J'l'ai eu leur putain de diplôme !
-Avec mention ?
-Carrément ! La mention rattrapage !
-... Allez, rentre. Mais tu dors sur le canapé.
-Merde. »


_____Cela faisait, quoi, huit ans que James et Alan n'avaient pas vécu ensemble ? Huit années durant lesquelles James avait fini de construire la vie idéale qu'il avait entrepris de créer. Il avait d'abord emménagé avec la fille de ses rêves, rencontrée en première, embrassée en terminale, mariée en seconde année de droit. L'appartement était vite devenu une jolie maison lorsqu'il était devenu commissaire. On avait transformé la chambre d'ami en chambre d'enfant et sa salle de musculation en chambre d'ami à la naissance de Lucia. Il avait vingt-cinq ans et il étouffait déjà.
_____Il ne l'avouerait pas, même sous la torture, mais Alan lui avait mortellement manqué durant ces huit ans. Il s'ennuyait, il piétinait, il déprimait presque. Il était enfermé dans sa maison, dans son bureau, dans son cerveau. Il était heureux, oui, et alors ? Il se faisait chier. Il avait besoin d'adrénaline. Et son boulot ne lui en offrait pas assez. Une seule journée avec Alan lui faisait vivre plus d'émotions qu'une semaine passé à vivre l'amour parfait avec Marit, sa femme.
_____« Alors c’est ça être adulte, avoir un compteur qui affiche 210 et ne jamais dépasser le 60 ? »
_____« Chéri ? Tu regardes quoi ?
-Un film français de merde.
-Oh, ne dis pas ça devant Lucia ! »


_____A l'époque, Alan avait toujours attiré l'attention par ses conneries. Il avait commencé à cinq ans et ne s'était jamais arrêté. Ça avait toujours été Alan ceci, Alan cela, Alan a fait ci, Alan a fait ça. Il semblait fermement déterminé à ruiner son avenir et la réputation de sa famille. A se prendre une tarte par tous les gens de l'école, sans oublier les professeurs. Pourquoi se sentait-il donc autant déterminé à faire oublier à tout le monde les efforts de James ?
_____Une de ses plus grandes frustrations avait toujours été de revenir de l'école avec le meilleur bulletin de la classe et que la soirée soit passée à faire le compte de toutes les heures de colles, les absences, les avertissements et les remarque qu'on avait pu faire dans celui d'Alan.
_____De toute manière, on ne le remarquait jamais. Si, on le remarquait parce qu'il était noir et que ses parents étaient blancs. Parce que non, il ne ressemblait pas à Hans son père adoptif, ni à Gritta sa mère adoptive. Alors qu'Alan si. Avec Alan, on pouvait jouer le jeu. En plus, Alan les appelait Papa et Maman, Alan n'avait connu qu'eux, ils avaient posé leur patte sur son éducation. James, lui, était sage, gentil, doué, attentif, calme, il s'occupait de son frère mieux que quiconque, lui sauvait continuellement la vie, et alors ?
_____« Hey James, on te croise souvent avec un gamin ces temps-ci, c'est qui ? T'as commencé le baby-sitting ou quoi ?
-C'est Alan, mon petit frère.
-Ton... Ah. Ok. Je vois. Je comprends mieux. »


_____Il faut dire, James avait été adopté par Hans et Gritta à l'âge de onze ans, alors qu'Alan en avait juste trois. Le pauvre couple était incapable d'avoir d'enfants et, comme un bon petit couple bourgeois et croyant, en avait besoin pour former leur famille idéale. Ils fouillèrent donc les orphelinats à la recherche du plus malheureux de tous les orphelinats afin d'exalter leur besoin de sauver une âme en peine. Ils tombèrent sur Alan qui avait déjà réussi à accumuler un bon tas d'emmerdes en trois années d'existences.
_____Dommage, on leur expliqua que le petit Alan était une offre deux en un : en prenant Alan, il fallait prendre James. James ? Mais si, le garçon là-bas, qui vous regarde. Mais si, mais si, prenez-le, vous n'aurez pas besoin de baby-sitter. Il s'occupe de son Lié depuis leur rencontre, ils sont inséparables. Et je peux vous le dire, le petit Alan a besoin de surveillance : il déborde d'énergie. Et puis il est intelligent. Et puis vous savez, il a vu mourir ses parents à six ans, il a besoin de soutien, de retrouver un environnement familial, d'être accepté par la société... Vous savez il était un fils d'immigré alors... Et puis à cet âge, être séparé de son Lié... Ils risquent de subir de graves problèmes mentaux. Ah ? Vous les prenez ? Vous êtes sûrs ? Merci bien !

_____En vérité, James était on ne peut plus anglais. Il n'avait jamais connu l'Afrique ou le Nigeria. Mais oui, il avait connu ses parents. Des Liés, des amis d'enfance, deux êtres aimants et aimés, qui avaient illuminé les six premières années de la vie du petit garçon. C'est aussi pour cela que le Lien est presque sacré pour James : il a vu le bonheur de Liés de ses propres yeux. Lorsqu'il a rencontré Alan, c'était comme si son rêve devenait réalité : ses parents pouvait reposer en paix à présent, il était Lié.
_____Comment ses parents étaient-ils morts ? Un accident de voiture. Un truc idiot. Il pleuvait, il était tard, ils voulaient rentrer à la maison, ils connaissaient le chemin par cœur, ils ont accéléré, la rue n'était pas si déserte que prévue... L'histoire idéale pour une question de code ou pour une pub de prévention du respect des limites de vitesse en temps de pluie. Bref, au lieu d'ouvrir à M. et Mme. Hudson, la baby-sitter découvrit un policier sur le pas de la porte. Il avait un air désolé mais un sourire affectueux et dégageait une impression de calme et de sérénité. Il avait prit en charge le cas de James Hudson avec beaucoup de sérieux et laissa une haute impression dans l'esprit du petit garçon qui avait bien besoin de soutien dans sa situation.

_____« James Hudson. »
_____Devant les papiers que lui avaient laissé l'avocat de sa femme, James murmura son propre nom. Alan avait de la chance de ne se penser qu'Alan Ohlsson. Mais James, lui, ne pouvait s'empêcher de faire raisonner de temps à autres son ancien nom. Parce qu'il était toujours James Hudson après tout, il n'avait jamais été uniquement James Ohlsson. Il n'avait jamais été leur fils. Il n'avait jamais été son frère. Il ne serait bientôt plus son mari. Resterait-il son père ? Nigérien, anglais, suédois ?
_____« Hé, bro, v'la le chinois. P'tain, t'es encore là-dessus, faut que t'arrête de te torturer comme ça ! Tu veux que j'te les signe, tes papiers ? Je fais mieux que toi ta signature, tu sais !
-Je sais. Et la monnaie, Al ?
-La monnaie ?
-La monnaie.
-Heu... Partie dans mes clopes ?»

_____Allez, James, t'inquiète pas. La crise de la quarantaine est loin, tu as le temps de te remarier, être black c'est plus cool qu'être arabe de nos jours. Et puis, malgré tout ce qui peut t'arriver, tu restes le Lié d'Alan Ohlsson, le crétin qui te sert de frère.



Sissi
La vie est la farce à mener par tous.


Pseudo : Sissi.
Avatar : Omar Epps.
Âge : Dix-huit balais.
Découverte du forum : Wammy's House.
Un mot : Alan, j'aurai ta peau !
Le code : Validé par Lush.


Dernière édition par James Ohlsson le Sam 31 Déc - 16:20, édité 1 fois
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James Ohlsson
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MessageSujet: Re: James Ohlsson | Les Aubes sont navrantes.   James Ohlsson | Les Aubes sont navrantes. EmptySam 31 Déc - 16:20

    Et voilà, c'est terminé madame. Commissaire Ohlsson à votre service !
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Aurélien de Suresnes
Aurélien de Suresnes
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MessageSujet: Re: James Ohlsson | Les Aubes sont navrantes.   James Ohlsson | Les Aubes sont navrantes. EmptySam 31 Déc - 17:02

Je t'ai déjà dit ce que j'en pensais Wub Wub Wub
Validée hehe
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