Il n'y avait rien de naturel dans ce que l'on éprouvait.
 
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 Et si on recommençait tout ?

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AuteurMessage
Jytte K. Amundsen
Jytte K. Amundsen
All I Need


▪ depuis quand ? : 21/11/2010
▪ conneries : 48
Féminin
▪ venue au monde : 26/01/1992
▪ et l'âge ? : 32

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MessageSujet: Et si on recommençait tout ?   Et si on recommençait tout ? EmptyDim 25 Déc - 21:27


Jytte Amundsen
vagabonde et désespérée


Nom : Amundsen
Prénom(s) : Jytte Katja
Âge et date de naissance : 17 ans & le 13 juillet 1992
Groupe : All I Need
Profession : vagabonde ( si si, c'en est une ! )
Origine : Européenne
Nationalité : Danoise
Quartier d'habitation : Le quartier nord
Lié : Najad
Statut marital : Célibataire à 100%. Il n'y a pas plus seule que moi



Joueur
First I was afraid, I was petrified


Pseudo : Alinoé
Avatar : Brittany Snow
Âge : 19 ans
Découverte du forum : Euh... Par Najad, il me semble
Un mot : Encore bravo à Aurélien !
Le code : Validé par Aurélien <3.


Dernière édition par Jytte K. Amundsen le Dim 1 Jan - 21:11, édité 3 fois
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Jytte K. Amundsen
Jytte K. Amundsen
All I Need


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▪ venue au monde : 26/01/1992
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MessageSujet: Re: Et si on recommençait tout ?   Et si on recommençait tout ? EmptyDim 25 Déc - 21:40


Personnage
Shit my glass is empty. That sucks !


Prologue

Et si on recommençait tout ? Tout depuis le début ? Rembobiner la cassette en vitesse accélérée et entendre les voix déformées des personnages et les voir bouger si rapidement qu'on a du mal à décomposer leurs mouvements. Parfois, on ressent cette envie qui nous pousse à revenir sur notre passé, à vouloir tout reprendre à la source, et repartir de zéro, comme si on pouvait recommencer une nouvelle vie en étant quelqu'un d'autre. Parfois, on ressent aussi cette envie de vouloir impérativement s'accrocher à son passé, comme un enfant s'accroche aux jupes de sa mère lorsque celle-ci vient à quitter d'une façon ou d'une autre le monde dans lequel elle vit. Et on sent la frustration monter en nous, les larmes nous brouillant le regard, les regrets nous étranglant. Parce qu'on n'a pas su diriger notre vie comme bon nous semblait, parce qu'on n'a pas su saisir au vol ce qu'on aurait aisément pu attraper juste en refermant les doigts. C'est ce que moi j'ai ressenti lorsqu'elle est partie.


Chapitre 1: Là où tout commence...

Cette fille que vous voyez là, assise sur ce canapé rouge, c'est moi. Malheureusement. Une petite blonde aux yeux d'un bleu pétant, qui pense qu'elle a tout raté, qu'à cause d'elle tout a été de travers, que plus rien ne sera jamais comme avant. Oui, je pense avoir totalement été à côté de tout ces derniers temps que j'en ai oublié qui j'étais, que j'ai erré comme une âme en peine sur les lieux qu'elle hantait encore. Je revois encore notre rencontre, comme si elle était dessinée à l'encre indélébile dans une page d'un livre, coincé dans une étagère poussiéreuse et pour laquelle je ne portais plus guère d'intérêt.
Je me fichais de mes parents, je me fichais d'Ingegerd qui se la racontait beaucoup trop, selon moi. J'avais beau être plus vieille qu'elle, être la véritable fille de mes parents, c'est elle qu'ils ont préféré à moi. Elle et personne d'autre. En fait, c'est comme s'ils avaient décidé de m'effacer de leur vie, d'effacer avec une gomme toutes les lignes de leur histoire dans lesquelles j'apparaissais. Ils ne se préoccupaient plus de moi et ça me sautait aux yeux. Je me sentais délaissée, abandonnée, détruite. J'avais beau lancer des appels au secours, personne ne venait à ma rescousse. J'étais seule. Seule contre tous. A ce qu'il me semblait. C'est ce que je pensais. Car en réalité, mes parents me prêtaient autant d'attention qu'à Ingegerd. Mes pensées étaient dérangées par de tels bouleversements : le fait de quitter Hillerød pour venir s'installer à Køge, le fait d'accueillir cette inconnue dans ma vie. Je n'ai jamais réussi à accepter Ingegerd. Jamais. Ça changera peut-être un jour mais ce n'est pas à moi de faire le premier pas. Ce n'est pas moi qui a décidé de tout dérangé, de mettre plus bas que terre toutes les choses que j'avais construites avec tant de soins.
Alors parfois, je m'échappais. Je fuyais la vigilance des parents et j'allais regarder cet homme écrire. Il aimait écrire, ça se voyait sur son visage. Ses mains portaient des tâches d'encre qu'il ne désirait pas enlever, il me l'avait dit. On discutait, lui et moi. C'était un écrivain, peu connu et pas destiné à l'être réellement. Il m'observait beaucoup et un jour, il me révéla qu'il voudrait faire de moi l'héroïne de sa future histoire. Un conte qu'il écrirait. On discutait peu, lui et moi, mais lorsqu'on échangeait quelques mots, c'était souvent constructif. J'appris que cet homme avait perdu sa femme dans sa jeunesse et qu'il n'avait pas désiré se remarier depuis. Il n'était plus de la première jeunesse, la seule nécessité qu'il éprouvait n'était pas d'avoir quelqu'un à ses côtés lorsqu'il dormirait, mais bel et bien d'avoir quelqu'un à qui léguer son héritage culturel. Ce monsieur me faisait penser à mon grand-père. C'est peut-être pour ça que je m'étais rapprochée de ce parfait inconnu. Parce que la littérature faisait partie intégrante de sa vie et que mon papy était un féru de bouquins. Et ils m'avaient tous deux transmis leur passion : mon grand-père, celle de la lecture, et l'inconnu, celle de l'écriture. Mon livre personnel tendait à s'enrichir de jour en jour et plus le temps passait plus des pages se noircissaient et plus je vous en révélerais. Car oui, cette fille que vous voyez dans son canapé et qui a l'air tourmentée, désespérée, cette fille, elle compte bien montrer un jour qui elle est vraiment.
En attendant, le sentiment que j'étais mal aimée ne me quittait pas. Ingegerd réclamait des bonbons, elle les avait alors que le diabète était présent en elle. Quand j'en demandais, on me disait juste que c'était mauvais pour les dents et que ça faisait grossir. J'avais décidé de m'accrocher à ce mince fil qui me reliait encore à ma véritable famille. J'envoyais balader Ingegerd, et elle, dans sa position de petite chouchoute et sur-protégée des parents, elle se camouflait derrière eux. Et ils se liguaient contre moi. Je m'échappais donc dehors, à la recherche de quelqu'un qui me supporterait et qui me comprendrait. Et c'est là que j'ai rencontré Najad.


Chapitre 2: ... là où tout continue...

Najad, c'est ma voisine. Enfin c'était. Quand on est arrivé à Køge, elle habitait déjà dans la maison d'à-côté. Au début, je n'osais pas aller vers elle, je tâtais le terrain pour voir si j'allais pouvoir en faire une amie, une confidente. Tandis que je bécotais des garçons dans les toilettes, comme toutes les petites filles de mon âge, je devenais de plus en plus amie avec elle. En l'espace de quelques semaines, quelques mois, on a réussit à se lier de cette amitié extrêmement forte, que rien ni personne ne saurait briser.
Quant tout allait de travers avec mes parents, c'est vers elle que je me dirigeais. Le jour, on jouait ensemble, on se racontait nos petits secrets, nos petites choses inavouables à notre propre famille, et le soir, on rentrait lorsque le soleil se couchait. On était inséparable, elle et moi. On était copains comme cochons ( excusez l'expression mais la mettre au féminin faisait étrange et un peu pervers ) et tout ce qu'on vivait se partageait entre elle et moi, si bien que je me mis à croire de plus en plus que Najad était ma liée.
Je prenais ce truc des âmes sœurs très au sérieux et très à cœur si bien que je rêvais d'être enfin lié à quelqu'un. Pourtant, j'étais aveuglée par Najad. C'était de l'amitié qui nous unissait, nos secrets, nos sombres desseins, nos plans machiavéliques pour échapper à nos parents ou à ceux qui nous emmerdaient à l'école. Mais si c'était plus que de l'amitié ? Lorsque j'évoquais dans ma tête l'idée qu'elle pourrait être ma liée, je me sentais étrange, comme si le monde se mettait à se mouvoir autour de moi, comme si les murs dansaient à mes côtés, comme si le sol ondulait sous mes pieds. Je sentais une chaleur anormale me monter aux joues. J'étais mal à l'aise.
Un jour tout s'écroula. Tous les fondements de notre amitié, mes pensées les plus intimes, mes secrets les plus personnels, ma vie la plus concrète. Tout s'était consumé en une poignée de secondes. Tous mes idéaux, tous mes projets s'échouaient lentement vers les tréfonds d'un gouffre sans fin. Je n'allais jamais pouvoir les retrouver, jamais pouvoir leur redonner leur gloire, leur magnanimité, celles qu'ils avaient autrefois eu et pour lesquels j'accordais une importance monstre.
J'étais chez moi. La maladie m'interdisait de m'aventurer au dehors de la maison. Mes yeux clairs étaient cerclés de rouge, mes cheveux blonds pendaient lamentablement de part et d'autre de mon visage et s'accrochaient à mes joues. Je transpirais comme pas possible. Et je grelottais. Maman avait décidé de prendre un congé pour s'occuper de moi. J'étais devant la télévision. C'était la seule chose que je pouvais suivre sans réellement suivre. J'étais tellement à côté de la plaque que rien n'arrivait à capter mon attention. Et voilà que les infos passaient à la télé et que dans la partie faits divers, on relata une histoire passée dans une école. Dans mon école. Une élève atteinte de folie, avait frappé un de ses camarades. Au début, ça ne retenait pas mon attention, jusqu'au moment où ils prononcèrent un prénom. Najad. Ma meilleure amie. La seule personne qui me comprenait et qui me permettait de rester en vie.
Plus tard dans la journée, mes parents se mirent d'accord sur le fait que je ne devais plus chercher à la voir, ni à la contacter d'une quelconque manière. Je compris quelques jours plus tard qu'en réalité, on m'interdisait de la voir ! Qu'ils voulaient que je sois malheureuse pour le restant de mes jours. Si ça continuait, je ferais mes valises et je m'en irais vivre loin d'eux. Dans un pays où ils ne songeraient pas venir à me chercher. J'étais contrainte de me plier à leurs volontés. Je n'étais que l'objet de leurs amusements néfastes qui me menaient droit à ma propre décrépitude. Ils devaient peut-être penser qu'avec le temps, ça s'estomperait, que je l'aurais oublié et qu'ils n'auraient plus qu'à me trouver de nouveaux amis qui correspondraient à leurs critères débiles. Mais je ne l'ai pas oublié, je ne l'ai jamais oublier. Je ne l'oublierais jamais.
J'aurais pu l'oublier. Son visage tendait à se dissoudre dans les méandres de mon cerveau. Pourtant, un jour où je traînais dans les rues avec des camarades, je croisais le regard de quelqu'un. Un regard qui ne m'avait pas oublié, un regard qui me rendait mal à l'aise, un regard que j'avais du mal à soutenir sans trembler. Un regard si clair qu'il donnait l'impression de déshabiller les gens qu'il fixait. Oh vous vous dites sûrement que c'est Najad, ma chère et tendre Najad. Détrompez-vous. Il s'agit juste de Svend, le garçon qui, au collège, était con, mais con de chez con. Enfin, je ne l'avais pas aimé. Le revoir ici, c'était comme si j'avais reçu en plein dans l'estomac un coup de poing qui m'avait projeté des années en arrière. Après avoir planté mes amis, j'avais suivi Svend dans un bar où il voulait clarifier la situation. Il parlait de l'époque où Najad lui avait collé une baffe. Qui l'avait envoyé à l'infirmerie, selon ses dires. Et il me demanda de ses nouvelles. Je n'en avais plus eu. C'est vrai, que devenait-elle ? Je me le demandais sincèrement. Alors, à la fin de cette discussion, j'avais saisi mon courage à deux mains et j'avais été frapper à sa porte. Je sais que mes parents m'épiaient, mais qu'importe !
On s'était revue, on s'était serrée dans les bras, on s'était jetée à la face des « tu m'as manqué » empreint de toute la sincérité que l'on pouvait mettre dedans. On avait passé du temps à rattraper le temps perdu. Comme c'était triste, décevant de voir une maison dépourvue d'une âme qui vive vraiment. Et lorsque je suis rentrée, les jours suivants cette visite, voire les semaines suivantes et les mois d'après, je n'avais plus eu de nouvelles de Najad. Et c'est à partir de là que j'ai su qu'on m'avait réellement séparé d'elle.


Chapitre 3: ... Et là où tout se termine.


Où aller ? Que faire ? Je devenais folle. L'avoir revu, le temps d'un fugitif moment, d'un moment volé aux visages de nos parents. J'avais besoin d'elle comme elle avait besoin de moi. Les adultes croyaient qu'en nous privant l'une de l'autre, on réussirait à devenir normale, à atteindre leurs espérances. Les miens, ils avaient perdu leurs espérances depuis longtemps. Ils savaient qu'ils ne pouvaient plus me retenir, que, quand j'étais déterminée, je faisais mon possible pour arriver à ce que je voulais, surtout si cela concernait Najad. Ils ne savaient que trop bien que je tenais à elle. Et ils se rendaient compte que plus le temps passait, plus je la cherchais. Plus je me mettais corps et âme à la retrouver. Elle ne m'avait prévenu d'aucun départ, elle ne m'avait donné aucune adresse. Rien. Rien qui pouvait me dire où je pourrais la retrouver. Je n'avais pas vu l'activité qu'il y avait eu autour de sa maison lorsqu'elle a déménagé. J'étais partie en voyage cette semaine là. Ils avaient bien calculé leur coup, les bougres. C'était une longue année de recherches qui s'était engagée. Une année durant laquelle je cherchais où elle avait pu aller, où je pourrais centrer mes recherches. Ce qui en découlait, c'est que je devais aller en Suède. Toutes les pistes explorées me menaient là. Mais ensuite, c'était le flou total. Je ne savais pas dans quelle ville elle avait pu élire domicile, quels établissements elle fréquentait.
Alors, un jour, sans prévenir, j'ai plié bagages et je me suis envolée en Suède. J'étais perdue, confrontée à moi-même dans un pays que je ne connaissais pas. Je ne savais pas par où je devais me diriger. Je perdais pied. Mais je gardais quand même un pied sur terre. L'autre me servait à oublier que j'existais et à m'envoler en des endroits où on ne pouvait aller. Alors, j'allais de ville en ville, en espérant à chaque fois croiser son regard. En espérant sentir mon cœur battre dans sa poitrine en sentant sa présence, en sentant son odeur, en la sachant près de moi. Quelque chose me dit que Sollentuna est l'étape finale et que je n'en repartirais pas bredouille.

Epilogue : Ended up on a broken train with nobody I know

Maintenant que l'avion est parti, maintenant que j'ai posé le pied à terre, je n'ai envie que d'une chose : courir jusqu'à en perdre haleine, courir jusqu'à ce que la mort m'emporte, courir peu importe la direction. Mais je voudrais courir pour aller retrouver Najad. Car il y a une chose dont je suis à présent certaine, c'est que je ne peux pas me passer d'elle, que je ne peux plus. C'est impossible. Impensable. C'est mon autre moi-même, la pièce manquante du puzzle que je représente. C'est ma liée. Et ça ne se discute plus, à présent.





Dernière édition par Jytte K. Amundsen le Dim 1 Jan - 21:11, édité 13 fois
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MessageSujet: Re: Et si on recommençait tout ?   Et si on recommençait tout ? EmptyDim 25 Déc - 22:35

Re-bienvenue sur Soulmates o/
Je valide ton code GR4
N'hésite pas à nous prévenir quand ta fiche est achevée, histoire qu'on déguste cela 8D
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MessageSujet: Re: Et si on recommençait tout ?   Et si on recommençait tout ? EmptyLun 26 Déc - 23:05

Fiche terminée !

J'ai quelque peu modifié la fin de mon ancienne fiche, mais cela ne change rien à l'histoire. Je n'ai pas pu me résoudre à supprimer soit Chapitre 3 soit l'Epilogue car les titres des deux collaient bien avec l'histoire, d'où le fait que je les ai tous les deux laissés.

J'espère que ça ira sinon ! :)
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MessageSujet: Re: Et si on recommençait tout ?   Et si on recommençait tout ? EmptyMar 27 Déc - 21:56

Eh bien, rien à dire, comme la toute première fois, j'adore ton style, ta fiche, la police d'écriture puis j'espère que Jytte retrouvera enfin Najad \o/
Validée =D
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MessageSujet: Re: Et si on recommençait tout ?   Et si on recommençait tout ? EmptyDim 1 Jan - 21:12

Yop !

J'ai ajouté un paragraphe pour dire que Jytte est liée à Najad GR4
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Lysiane Hearbson
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MessageSujet: Re: Et si on recommençait tout ?   Et si on recommençait tout ? EmptyDim 1 Jan - 21:21

Je change ton groupe tout de suite ! GR4
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MessageSujet: Re: Et si on recommençait tout ?   Et si on recommençait tout ? Empty

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