| | Nils Majken Ǻkerfeldt - Who are you when no one's watching ? | |
| Auteur | Message |
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▪ depuis quand ? : 14/01/2012 ▪ conneries : 31 ▪ venue au monde : 31/08/1989 ▪ et l'âge ? : 34 ▪ groupe : All I Need~ ▪ humeur : Transie. « — you are my soulmate »Relations avec votre Lié:
| Sujet: Nils Majken Ǻkerfeldt - Who are you when no one's watching ? Dim 15 Jan - 12:58 | |
| Nils M. Ǻkerfeldt ” «Who are you, when no one's watching ?»
| JE SUIS CE QUE JE SUIS Nils M. Ǻkerfeldt, Suédoise, née le 31 août 1989 (vierge, serpent de terre) à Härnösand , nord est de la Suède. Orpheline de mère. Etudiante en journalisme, vendeuse le reste du temps à la boulangerie de Tureberg. Ethérée, à côté de la plaque, imaginative, secrète, rêveuse, gourmande, fantasque, transie, vagabonde, angoissée, gaie, originale, loufoque, décalée. Animal favori : le moineau; fleur favorite : amaryllis; plat préféré : bägel veau-avocat. Blonde, yeux anthracite clair, 1m72 58kg, le genre à mettre des bottes avec une robe, un pull sac avec une jupe, un jean déchiré avec un chemisier à fleurs. Fume des cigarettes et des trucs moins légaux, bois parfois plus que de raison, aime s'amuser et pourquoi pas faire la fête, mais fait gaffe à rester indépendante
WHAT I'D LIKE________
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Dernière édition par Nils M. Ǻkerfeldt le Lun 12 Mar - 17:18, édité 5 fois |
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▪ depuis quand ? : 14/01/2012 ▪ conneries : 31 ▪ venue au monde : 31/08/1989 ▪ et l'âge ? : 34 ▪ groupe : All I Need~ ▪ humeur : Transie. « — you are my soulmate »Relations avec votre Lié:
| Sujet: Re: Nils Majken Ǻkerfeldt - Who are you when no one's watching ? Dim 15 Jan - 13:24 | |
| | Nils J. Virtanen ___________________________________________________________________________________________
Je te porte comme une blessure sur mon front. "J’ai été toi si fortement, moi qui le suis si faiblement; et si rivés tous les deux que nous eussions dû mourir ensemble, comme deux matelots mi-noyés et s’empêchant l’un l’autre de nager, et se donnant encore des coups de pied dans les profondeurs de l’Atlantique, où commencent les poissons aveugles, et les horizons verticaux." Ces vers de Jules Supervielle, je voudrais les avoir écrits, tellement je les trouve justes. Ils définissent exactement notre lien. Même si je refuse de l'admettre, parce que... Je sais même pas pourquoi d'ailleurs, je sais que j'ai pour lui plus qu'un simple Lien amical. Beaucoup plus.
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| Alan Ohlsson ___________________________________________________________________________________________
I've basically got fuck all going for me. Aide-moi à revenir de mes horizons qu’aspirent des lèvres vertigineuses. Aide-moi à être immobile, tant de gestes nous séparent, tant de lévriers cruels! Que se taisent les voyages qui déchirent mes années en sanguinolents paysages et ces têtes en offrandes qui viennent frapper la nuit à la portière des trains! Que je penche sur la source où conspire ton silence, dans un reflet de feuillage que ton âme fait trembler. Ah! sur ta photographie, je ne puis pas même voir de quel côté souffle ton regard. Nous nous en allons pourtant, ton portrait avec moi-même, si condamnés l’un à l’autre que notre pas est semblable dans ce pays clandestin où nul ne passe que nous. Nous montons bizarrement les côtes et les montagnes et jouons dans les descentes comme des blessés sans mains. Mes souvenirs ont goût de carton qui auraient pu être vivants. (Jules Supervielle) |
| Eivind Hansen ___________________________________________________________________________________________
I don't speak. I'm sorry. Aide-moi à revenir de mes horizons qu’aspirent des lèvres vertigineuses. Aide-moi à être immobile, tant de gestes nous séparent, tant de lévriers cruels! Que se taisent les voyages qui déchirent mes années en sanguinolents paysages et ces têtes en offrandes qui viennent frapper la nuit à la portière des trains! Que je penche sur la source où conspire ton silence, dans un reflet de feuillage que ton âme fait trembler. Ah! sur ta photographie, je ne puis pas même voir de quel côté souffle ton regard. Nous nous en allons pourtant, ton portrait avec moi-même, si condamnés l’un à l’autre que notre pas est semblable dans ce pays clandestin où nul ne passe que nous. Nous montons bizarrement les côtes et les montagnes et jouons dans les descentes comme des blessés sans mains. Mes souvenirs ont goût de carton qui auraient pu être vivants. (Jules Supervielle) |
| Johan S. Nielsen ___________________________________________________________________________________________
Smile. It confuses people. Aide-moi à revenir de mes horizons qu’aspirent des lèvres vertigineuses. Aide-moi à être immobile, tant de gestes nous séparent, tant de lévriers cruels! Que se taisent les voyages qui déchirent mes années en sanguinolents paysages et ces têtes en offrandes qui viennent frapper la nuit à la portière des trains! Que je penche sur la source où conspire ton silence, dans un reflet de feuillage que ton âme fait trembler. Ah! sur ta photographie, je ne puis pas même voir de quel côté souffle ton regard. Nous nous en allons pourtant, ton portrait avec moi-même, si condamnés l’un à l’autre que notre pas est semblable dans ce pays clandestin où nul ne passe que nous. Nous montons bizarrement les côtes et les montagnes et jouons dans les descentes comme des blessés sans mains. Mes souvenirs ont goût de carton qui auraient pu être vivants. (Jules Supervielle) |
| What's your name ? ___________________________________________________________________________________________
Dominer le silence assourdissant... Aide-moi à revenir de mes horizons qu’aspirent des lèvres vertigineuses. Aide-moi à être immobile, tant de gestes nous séparent, tant de lévriers cruels! Que se taisent les voyages qui déchirent mes années en sanguinolents paysages et ces têtes en offrandes qui viennent frapper la nuit à la portière des trains! Que je penche sur la source où conspire ton silence, dans un reflet de feuillage que ton âme fait trembler. Ah! sur ta photographie, je ne puis pas même voir de quel côté souffle ton regard. Nous nous en allons pourtant, ton portrait avec moi-même, si condamnés l’un à l’autre que notre pas est semblable dans ce pays clandestin où nul ne passe que nous. Nous montons bizarrement les côtes et les montagnes et jouons dans les descentes comme des blessés sans mains. Mes souvenirs ont goût de carton qui auraient pu être vivants. (Jules Supervielle) |
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