Il n'y avait rien de naturel dans ce que l'on éprouvait.
 
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 Nemaides ; Stray Dog.

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AuteurMessage
Nemaides P. River
Nemaides P. River
Sleepless


▪ depuis quand ? : 25/04/2010
▪ conneries : 44
Masculin
▪ venue au monde : 16/12/1992
▪ et l'âge ? : 31
▪ localisation : A la niche.
▪ groupe : Sleepless.
▪ humeur : Egale, comme toujours.

Nemaides ; Stray Dog. Empty
MessageSujet: Nemaides ; Stray Dog.   Nemaides ; Stray Dog. EmptyDim 25 Avr - 18:05


© Lush
nom du personnage ; River.
prénoms du personnage ; Nemaides, Ptolemy.
âge du personnage ; 18 ans.
date de naissance ; 26 Décembre 1991.
groupe ; Sleepless.
lié(e) ; Aucun.
son origine ; Angleterre.
sa nationalité ; Anglaise.
son occupation ; Nemaides a repris ses études bien malgré lui. Il est inscrit dans une école de stylisme. Si cela ne tenait qu'à lui, il aurait continué sa carrière de top model.

Histoire
« MASOCHISME ( de Leopold von Sacher-Masoch, romancier autrichien ). 1. Déviation sexuelle, liée à une pulsion d'autodestruction, dans laquelle le sujet ne trouve le plaisir que dans la douleur physique et les humiliations qui lui sont infligées. »


Allongé dans l'écrin de draps noir, le jeune homme au corps aussi blanc que l'albâtre ne pouvait passer inaperçu. Sa peau nue d'une blancheur d'ossements formait un contraste sublime sur fond de jais. L'éphèbe tortillait machinalement une mèche couleur de neige entre ses longs doigts effilés. Il était né albinos. Sa chevelure était indisciplinée avec ses mèches qui rebiquaient élégamment sur sa nuque et ses épaules. D'autres encadraient son visage marmoréen, mordant ses joues aux pommettes hautes alors qu'une mèche barrait son front pâle. Une mèche solitaire et rebelle qui refusait de rentrer dans le rang pour venir taquiner l'arrête de son nez fin et droit. Sa crinière de fauve faisait penser à un entrelacement de soie blanche ou de fils de toile d'araignée : doux et scintillants. Bien que leur couleur le suggérât, sa chevelure n'était guère éparse et fragile ; elle était belle, forte, épaisse et bien fournie, comme la fourrure d'une bête sauvage.

D'ailleurs, sa crinière n'était pas la seule chose qui chez lui évoquait un animal. Il y avait également sa dentition – blanche et bien alignée – dont les canines étaient étrangement saillantes et aiguisées. Pas assez pour passer pour un vampire, mais suffisamment pour souligner une certaine bestialité. Ses yeux d'un rouge grenat surprenaient par la profondeur sanguine de leur couleur. Ils étaient à peine bridés, héritage d’un parent chinois dans la famille, du côté de sa mère. On aurait pu sérieusement le comparer à un animal indomptable si ces derniers avaient reflété autre chose qu'une lassitude blasée doublée d'une neutralité glaciale. Ce jeune homme semblait être l'impassibilité incarnée, le calme à son état pur. Difficile alors de l'imaginer détruire tout sur son passage comme un fauve enragé. Non. Il tenait davantage du chien d'appartement : lent et paresseux. Mais peut-être faut-il se méfier de l'eau qui dort, qui sait ?

Il s'humecta machinalement les lèvres de sa langue souple et rose, provocante. Ses lèvres en elles-mêmes étaient plutôt pleines sans lui donner l'air d'un chérubin et d'une délicate couleur rosée qui rappelait une framboise givrée. Sa bouche – bien que vierge de toute émotion – était du genre à donner des envies peu catholique, ce pour quoi il était d'ailleurs plutôt familier. Après tout, à se prélasser nu ainsi, on ne doutait point de ce à quoi il s'était adonné et s'adonnera.

Car le jeune homme irradiait l'érotisme et la lascivité par tous les pores de sa peau hyaline. Rien qu'à le voir se lover ainsi dans les draps, son attitude provocatrice laissait entendre bon nombre de suggestions d'ordre charnel. L'homme mâtiné d'animal bâilla avec nonchalance, découvrant ses embryons de crocs, s'étirant comme un chat : il tira ses bras minces à la musculature sèche devant lui en entremêlant ses doigts et se cambra délicieusement, exposant sa divine chute de rein qui semblait ciselée dans le plus pur des marbres blancs. Le jeune homme se leva, déployant son corps délié avec langueur. Gracieusement perché sur ses longues jambes fuselées et harmonieusement athlétiques, il se dirigea vers la porte, la démarche altière, balançant ses hanches étroites dans un affriolant déhanché. Ses fesses avaient l'air ferme et doux au toucher, du genre qui fait tourner les têtes. Il ouvrit la porte, alla dans la cuisine, récupéra une petite bouteille de lait dans le frigo et revint dans sa position initiale : il se rallongea sur le lit, qu'il grimpa avec souplesse et aisance.

L’albinos se mit à plat-dos cette fois-ci, pressant ses omoplates légèrement saillantes sur les draps noirs. L'air d'attendre quelque chose, le jeune homme remuait doucement ses orteils à l'ossature délicate. Il traçait machinalement les contours son torse glabre à la musculature finement sculptée, tout comme ses abdominaux qui se dessinaient subtilement sous son épiderme pâle. Ses doigts, longs et fins aux ongles soigneusement manucurés, passèrent sur son nombril – joli petite fosse qui égayait son ventre plat. Et ce beau jeune homme, je suis toujours surpris de voir que c’est moi.

Enfant et ce jusqu'à mes quinze ans environ, j'avais été un gamin insipide et totalement écœurant. Mais par un mystère étrange que je n'ai jamais su expliquer malgré mon quotient intellectuel honorable, comme le vilain petit canard, je me suis métamorphosé en cygne. C'est difficile à concevoir lorsque l'on voit comme j'étais avant. Je ne grimaçai rien qu'à l'évocation de celui que j'étais il y a de ça quelques années : un vrai loukoum. Rond, blanc et mou. Erk. Je me trouvais si laid à l'époque ! Mais mon corps avait évolué d'une surprenante mais agréable façon. En regardant les photos, j'ai vraiment du mal à croire que ce garçonnet empoté et d'une grâce disgracieuse, avec ses yeux comme deux trous sans fond, ses cheveux comme de la crème chantilly, sa démarche maladroite et ses allures d'autiste soit devenu la bombe empreinte d'une séduisante bestialité latente, avec ses jambes fuselées, sa démarche élégante, ses muscles finement dessinés, ses mèches d'albâtre savamment coupées, ses yeux d'un grenat intense et sa silhouette de top modèle que je suis maintenant. Non, je ne suis pas prétentieux. Si je n'avais pas ce physique si particulier – je suis albinos – on ne me croirait pas en voyant mon évolution. Car avant d'être une beauté sauvage, j'avais tout d'une boule de coton.

Je m'affalais dans les draps de notre lit, tel un chien paresseux, et m'y entortillai sommairement. J'avais fait le ménage et préparé le repas. Il ne me restait plus qu'à attendre « l'Homme » de la maison, mon Maître du moment. Moi, je suis son chien, au mieux sa femme au foyer. Mais j'aime ça. Qu'il m'humilie, me frappe ou m'insulte ne me dérange pas – bien au contraire. Ce qui me tue, c'est lorsqu'il m'ignore ou me dénigre à l'extrême. Alors pour compenser, je joue avec le feu... Je fais gentiment du gringue aux autres hommes, je lui fais le récit de mes anciennes aventures, je lui fais des remarques sournoises sur sa capacité à me satisfaire,... Ça marche à tous les coups : il finit toujours par voir rouge et par se désintéresser des autres pour se concentrer sur moi – que ce soit pour me frapper ou me prendre sauvagement. Tout ce que je veux, c'est qu'il fasse attention à moi. Après tout, je suis un maso, mais aussi un mannequin.

Sinon, j'ai un frère aîné : October. Nous avons quatre ans d'écart. Il a ainsi pu suivre toute ma croissance de loukoum demeuré. On a longtemps cru que j'étais atteins d'une quelconque forme d'autisme à cause de mon refus de communiquer. En réalité, j'étais bien plus précoce que les autres enfants et si je refusais de coopérer, c'était seulement pour aller contre les désirs de ma folle de mère. Trop possessive. Trop hystérique. Trop écœurante. Elle me faisait peur, alors je ne parlais pas. Quand je fus en âge d'écrire, j'écrivais parfois sur un bloc-notes pour lui faire part de mes pensées, quand je ne la méprisais pas, tout simplement. Quant à mon père, il n'était qu'une ombre, étouffé par une mère omniprésente qui se mettait des idées tordues dans la tête à mon sujet – genre qu'il fallait me donner beaucoup de sucre parce que j'étais hypoglycémique, ou bien que je devais vivre exclusivement entouré de blanc, que je ne devais manger que des aliments de cette couleur et m'habiller ainsi également... Le pire, c'est que pendant longtemps, je suivis ces préceptes à la lettre tant elle en avait fais une habitude pour moi. Il m'a fallut être en internat permanent pour réussir à me défaire de ses enseignements... Mais pas tous, malheureusement.

Non, celui qui m'intéressait, c'était mon frère aîné. Je l'admirais, parce qu'il était normal – pas albinos –, populaire, beau, classe,... Il était ce que je voulais être. Il avait un meilleur ami qui me fascinait aussi et étaient toujours fourrés ensemble à la maison. Ils avaient l'air de bien s'amuser dans la chambre, d'où je pouvais entendre des petits cris joyeux, des râles extatiques et des gémissements euphoriques. A l'époque, je n'avais aucune idée de ce qu'ils pouvaient manigancer et – bien que les ayant surpris une fois – je ne comprenais pas en quoi c'était jouissif de se battre tout nu... Ce n'est que plus tard que je compris, à l'arrivée de la puberté et quand Lawliet, son meilleur ami, commença à avoir des gestes déplacé envers moi, alors âgé de douze ans. C'est à cet âge-là que les violences qu'il me faisait déjà subir se modifièrent peu à peu. L'adolescent me susurrait des choses dérangeantes à l'oreille, il me touchait à des endroits qui me faisait rougir de honte, il collait son membre dur contre moi, il s'exhibait sans gêne devant mes yeux chastes,... Je détestais ça. Ça me terrorisait littéralement. Alors je fuyais aussi vite que pouvaient me porter mes petites jambes de chamallow. Seulement, nous étions dans le même internat avec October et Law, donc il n'avait aucun mal à me traumatiser, loin de ma mère et de tout soutien. Par contre, les humiliations collectives me mettaient en joie. Je supportais sans mal les moqueries d'October et sa bande, de même que les tourments plus physiques, les bizutages et autres douches dorées... J'étais heureux d'être ainsi traîné dans la boue, en public ou pas. C'était le sexe qui m'effrayait.

Mais l'année suivante, probablement rendu vicieux par les hormones, je m'aperçus que j'étais de moins en moins dérangé par son harcèlement sexuel. Au contraire, je crois même que cela m'excitait un peu... Je me dégoûtais moi-même, mais néanmoins, j'adorais penser que je n'étais qu'un être méprisable et méprisé. Cela me faisait plaisir de me dénigrer de mon propre chef. Enfin... Toujours est-il qu'un jour – pour une raison que je ne parviens plus à me remémorer –, Law m'a giflé. Vexé et d'humeur exceptionnellement sensible, je m'étais réfugié dans la forêt près de l'école. Il m'y a suivit et... on connait la suite. Cela m'avait fais atrocement mal d'être dépucelé. Mais la douleur intense était recyclé en plaisir par mes pulsions masochistes déjà très développées. Seulement, mon nouvel amant avait déjà dix-sept ans et partit de l'école une fois son diplôme obtenu à la fin de l'année. Pendant un an encore, nous pûmes quand même nous voir pendant les vacances. Mais ma mère, affolée que je fréquente un tel voyou, m'avait changé d'école pour que j'aille étudier dans un établissement où il y avait possibilité que les élèves restent à l'école toute l'année, même pour les vacances. Ma génitrice se déplaçait pour venir me voir et non le contraire. Lawliet et moi nous perdîmes de vue. Seulement, la vie continue et je du m'adapter à ma nouvelle vie dans cette toute nouvelle école pour garçons, à maintenant presque quinze ans.

Je changeai du tout au tout. Pas seulement physiquement, où ma transformation en « beau gosse » était amorcée, mais aussi mentalement. J'étais toujours aussi masochiste – sinon plus – mais je mûris évidemment, me transformant en adulte avec ses aspirations, et je changeai aussi dans mon comportement, mon caractère et mes goûts. Certes, je restai toujours un monstre d'impassibilité froide, mais je devins beaucoup plus fourbe et calculateur, davantage sournois et rusé. Je réussis à me défaire de l'emprise de ma mère, d'October et de Lawliet de qui, inconsciemment, je copiais les goûts et les désirs, formaté. Je pris doucement mais sûrement plus d'indépendance dans ma façon de penser. Je cessai de vénérer le blanc – bien qu'en cas de doute, c'était toujours vers cette couleur que je me tournais et elle restait ma préférée –, j'élargis mes horizons alimentaires tout comme j'ouvris mes horizons sexuels. En fait, je vois ma vie comme la croissance d'un arbre : jusqu'à une certaine hauteur s'élevaient des tuteurs nommés « Maman », « October » et « Lawliet » qui me faisaient pousser selon leur bon vouloir. Désormais, je grandissais comme il me plaisait, l'emprise de mon nouvel entourage étant beaucoup moins puissant. Y compris celle de mes nouveaux « Maîtres » qui ne parvenaient pas à modifier ma nature profonde. Et d'ailleurs, ils ne voulaient pas.

Ah ! Mes Maîtres... Tel le chien, il me fallait quelqu'un pour me mater, me dresser et m'encadrer. Comme je devenais de plus en plus séduisant avec l'âge, je peux affirmer sans frime que je bénéficiais d'un certain succès, ceci couplé à mon albinisme – objet de fascination pour autrui. A l'internat, il y avait un certains nombre d'homosexuels débridés et plus ou moins sadiques qui souhaitaient se délecter de mes charmes – après tout, l'internat était un moyen pour les parents friqués d'éloigner leur progéniture indésirable, dont leurs enfants gays. October ne m'avait jamais aimé alors ce devait être un soulagement de me savoir tout là-bas, en Écosse. Law était loin, il avait dû m'oublier... Je me laissai aller à la luxure entre les bras de mes amants passagers dans des amourettes superficielles. Seul le sexe comptait, je crois. Et la domination aussi. Je passai entre plusieurs mains, parfois revenaient les mêmes... Cela m'indifférait au plus haut point. Néanmoins, j'éprouvais du plaisir plus ou moins masochiste à me faire prendre par tous ces adolescents, que ce soit dans l'intimité ou dans des parties de baise plus ouvertes que l'ont pouvait qualifier d'orgies ou bien même de gang bang consentant – le centre du « viol » étant moi, en l'occurrence. Nemaides, ou le Dramatic Uke. En d'autres termes, le dominé masochiste dans son essence la plus pure. C'est un test sur le net qui m'a valu ce surnom qui – par ailleurs – est resté jusqu'à la fin de mes études. Enfin jusqu'à ma sortie du lycée, je peux dire que je me suis bien amusé en compagnie de cette bande de délicieux dépravés. J'en garde un très bon souvenir. Puis vins le moment où je du revenir chez moi, à Londres, faire mes valises, et quitter mes camarades de jeu... Je ne retrouvai pas October directement après la fin de mes études.

J’errai un an avant de pouvoir le revoir. J'étais sorti du lycée avec l'idée de me mettre à sa recherche, sans pour autant vouloir revenir à la maison. Pour cela, j'entrai en contact avec des gens susceptibles de le connaître. C'est ainsi que pendant un an, je passais entre les mains de deux Maîtres. Le premier était un vieux pervers d'environ soixante-dix ans, amateur de beaux jeunes hommes avec qui s'afficher en guise de sacs à main. Oh, évidemment il attendait de moi une participation au lit et que je lui fasse quelques gâteries, mais dans l'ensemble, il me laissait plutôt tranquille – il était quand même vieux – et en contrepartie, j'étais entièrement entretenu à ses frais. Quand le vieux mourut, j'allais échouer dans les bras d'un mafieux dénommé Steven. Cette fois-ci, j'eus plus de chance : Steven connaissait très bien Lawliet et October qui, avouons-le, étaient plutôt louches. Waw. Seulement, mes plans ne se passèrent pas comme prévu : au lieu de me livrer à mon frère, le mafieux me garda pour lui et fut mon Maître. Contrairement au vieux, Steven était un sadique, un vrai. Un de ceux qui pratiquaient le bondage à merveille, maniaient le fouet avec brio, administraient les fessées comme personne, pouvaient me jeter tout saucissonné, menotté et bâillonné dans un placard pendant plusieurs jours après m'avoir battu, me sifflaient comme un chien ou bien organisaient des petites soirées dont j'étais l'objet de toutes les attentions malsaines. Mais lorsqu'October et son meilleur ami venaient, il prenait garde à me laisser caché quelque part, attaché et privé de voix. De toute façon, il m'avait impérieusement ordonné de ne jamais leur dire qui j'étais si jamais ils venaient à me rencontrer. Cela arriva alors que mon frère et Law rendirent à Steven une petite visite surprise, déjà bien drogué et peu lucide. Moi, j'étais à côté du canapé, aux pieds de mon Maître qui me tenait en laisse. Chez Steven, je vivais nu « pour être toujours prêt », mais ça faisait longtemps que j'avais abandonné toute pudeur de toute façon. October et Lawliet ne m'avaient même pas reconnu tant j'avais changé et tant ils planaient. Ils se contentèrent de s'asseoir, de féliciter Steven pour la beauté de son chien – moi – et Law s'extasia toute la soirée sur mes cheveux qu'il reniflait, caressait et flattait en les comparant à de la coke de part leur couleur. C'est ainsi qu'il me renomma tout bêtement « Monsieur Coke ». N'empêche, me retrouver si proche d'eux me mit dans tous mes états, incroyablement frustré d'être réduit au silence par mon Maître actuel.

Quand vint le moment où Steven réinvita October, Law et d'autres amis, il me bâillonna, me menotta, me ligota les chevilles contre les cuisses et les bras repliés contre le torse dans un complexe entrelacement de cordes. Il m'enferma dans le placard, comme d'habitude. Mais je pouvais entendre ce qu'il se passait. Aussitôt entré, Lawliet demanda à voir « Monsieur Coke ». Après avoir fais mine de protester, Steven obtempéra, craignant mon ancien amant, comme tout le monde. Il ouvrit le placard et m'en sortit en me tirant par les cheveux. J'avais mal et émis un gémissement étouffé par l'espèce de balle de golf rouge enfoncée dans ma bouche et retenue par des liens en cuir. Mon Maître me détacha et retira mon bâillon, qui roula par terre avec un bruit mat. Cependant, je gardai mes menottes. Steven me força à me lever sans aucune douceur et me mena vers Law, nu comme un ver. Ce dernier me pris sur ses genoux, l'air étrangement fasciné par moi. Craintif et affolé, je restais silencieux et docile alors qu'il manipulait mes mèches blanches avec intérêt. Mon cœur battait si fort que j'avais l'impression qu'il pouvait l'entendre cogner contre ma poitrine. Être assis à même ses cuisses me fit basculer dans mes vieux souvenirs de l'époque lointaine où nous étions ensemble. Je mourrais d'envie de lui avouer mon identité, mais si je le faisais, j'avais peur des représailles. Car premièrement, j'enfreindrais un ordre, et deuxièmement, Lawliet me tuerait pour ne pas m'être tout de suite présenté à lui. Ainsi coincé entre terreur et désir, je restai muet. C'est alors qu'au fil de la conversation, il demanda sur le ton de la plaisanterie :

« Il s'appelle comment ? Nemaides ? »

Aïe. Évidemment qu'en me voyant il penserait à son « Rouleau de Neige » comme il m'appelait à l'époque : albinos et masochiste, une combinaison qu'on ne croisait pas tous les jours. Ce fut avec un étonnement non dissimulé que Steven confirma la chose. Et là, la situation bascula. Lawliet m'attrapa violemment à la nuque et serra. Il m'attira contre lui et hurla à qui voulait l'entendre que c'était lui mon Maître, et personne d'autre. Que j'étais sa chose, son appartenance et que personne d'autre que lui n'avait le droit de me baiser. Dans un premier temps, Steven voulu l'empêcher de m'emporter avec lui, mais il capitula très vite après que Law l'est menacé de le tuer. October nous regardait, amusé. Comme précédemment, il me traîna jusqu'à sa voiture en me saisissant par la crinière, brusque. Ça faisait un mal de chien ! Alors j'adorais. Il me balança sur la banquette arrière, toujours nu. Lawliet entra également et me prit sans plus de cérémonie, avec une agressivité et une violence telle que je n'en avais sans doute jamais connu. Ce faisant, il me faisait de nombreux suçons pour me marquer et me frappait en m'insultant de tous les noms, criant à la traîtrise et au mensonge. Ses mots me perçaient superbement le cœur. Je pleurais. Et à travers le voile de mes larmes, je lui jurais que je l'aimais, comme il me l'avait ordonné. Le revoir maintenant faisait éclater mon désir malsain comme des bulles à la surface de l'eau. Toutes mes ardeurs pour lui firent gonfler mon myocarde jusqu'à l'explosion : un orgasme. Malgré les insultes. Malgré la douleur. Mieux, elles sublimaient la jouissance. Notre jouissance qui se mêla au sein de mes entrailles souillées.

Law constata avec dégoût que j'étais toujours autant masochiste, sinon plus. Oh... J'aimais qu'il me traite avec un tel écœurement. Il ne cessait de répéter que je lui appartenais. Ainsi, il sortit son paquet de cigarettes et en prit un échantillon. Il l'alluma. Je le regardai faire, sans crainte... J'avais tort. Contrairement à ce que je pouvais penser, le brun ne la fuma pas : il pressa le bout incandescent contre la peau fragile et tendu de mon flanc gauche. Je hurlai de douleur ; intense, sacrée. Il la ralluma encore et me marqua à nouveau. Quatre fois. Quatre fois avant que sa clope soit inutilisable. Le cœur au bord des lèvres, tremblant et palpitant, je regardai ce qu'il m'avait fait : un L. Composé de quatre points. Quatre brûlures. Quelque chose me souffla que mon supplice était loin d'être terminé... Et ce quelque chose était très sensé. Law utilisa autant de cigarettes qu'il en fallait pour me marquer par le feu : L A W L I E T. J'étais sa chose, son appartenance. Ma peau recouverte de cloques percées et humides le clamait. J'étais au bord de l'évanouissement tant je souffrais. Une souffrance aigre/douce qui me faisait tourner la tête comme une pipe d'opium. Lawliet m'abandonna sur la banquette, tout haletant, secoué de petits spasmes, hoquetant.

Il s'installa sur le siège conducteur et démarra. Il se mit à me poser une foule de questions... « Pourquoi tu ne t'es pas manifesté avant, enfoiré ? ! Pourquoi t'es resté avec ce con ? ! T'as bien pris ton pied à te faire baiser par un autre ? ! D'ailleurs, y'en a eu combien ? ! ». A mesure qu'il me hurlait dessus, une sorte d'audace tout à fait insolente et suicidaire fit son chemin dans mon esprit. Ses sermons m'excitaient. Mais je voulais le voir furieux. Dieu que j'aimais lorsqu'il était hors de lui ! Lawliet était si beau lorsqu'il voulait tout détruire... Vingt-quatre. C'était ma réponse : vingt-quatre amants en son absence, sans mentir. Law manqua de s'étouffer. Puis pendant un instant, je crus qu'il allait m'éviscérer. Le goût du danger se fit drogue. Enhardi pour une stupide poussée d'adrénaline, je rajoutais que mes Maîtres non-officiels devaient être même plus nombreux car, après tout, j'étais trop aveuglé par le plaisir pour identifier tous les participants des orgies sexuelles auxquelles j'avais participé... Fou de rage, Lawliet fonça chez lui à une vitesse qui lui aurait valu un retrait du permis à vie.

Il s'arrêta, me saisit par les cheveux et me traîna jusqu'à son appartement, prenant garde à ce que mon dos et ma blessure au flanc souffre bien en cognant sur chaque marche dans les escaliers. Tant de douleur... Un véritable martyre. Une fois entré, il me jeta contre la porte. Je me laissai tomber sur le sol, tremblant. De douleur ou d'excitation ? Mystère. Lawliet me bourra de coups de pieds et me jeta un vase dessus ; je fus coupé par plusieurs éclats de porcelaine noire. Mais ce n'était rien comparé à ce qui allait suivre... Les yeux brillants de démence, mon nouveau Maître ayant repris ses droits sur moi s'agenouilla à mon côté. Il ramassa un éclat du vase et l'approcha de mon dos... La porcelaine trancha facilement ma peau fine et fragile. Je me cambrai de douleur. Sadique, il prit son temps pour tracer soigneusement les lettres en écriture attachée : « Lawliet Lawliet Lawliet Lawliet ». Son prénom couvrait mes omoplates d'une jolie écriture empreinte de souffrance. Mon sang, rouge passion, coulait abondamment sur mon épiderme diaphane et mutilé, se mêlant au plasma qui suintait de mes cloques, les enflammant davantage. J'étais raidi et tendu par la souffrance qui tétanisait tous mes muscles. En guise de final, il me tira une balle dans le genou. Overdose. Je perdis connaissance, vaincu par la douleur.

Lorsque je revins à moi, j'étais couché sur le sol, au pied du lit. J'avais mal. Et quelque chose m'irritait atrocement à la taille, meurtrissant mes brûlures... J'ouvris un œil vitreux et vit qu'une épaisse corde était nouée autour de mon corps et attachée à un anneau dans le mur, pour ne pas que je m'échappe. Il y avait trois mètre de corde. Courbaturé à l'extrême, je renonçai à me redresser. Mon corps brisé était taché de sang, de plasma, de larmes et de sperme séchés. Je me sentais sale ; autant physiquement que mentalement. Personne n'avait pansé mes plaies : mon dos, mon genou et mon flanc étaient à vif. Sans compter mes multiples hématomes qui me lançaient... Et un atroce mal de tête. Bienvenue à la maison...

Lawliet me séquestra un mois. Un mois entier je restais soudé à cette horrible corde, trop courte pour que j'atteigne la cuisine et me nourrir. Je ne pouvais voir personne. Quand il était de bonne humeur, Law me laissait une gamelle de nourriture à portée, et je me sustentais comme un chien, par terre, le nez au ras du sol, les reins en l'air. Toujours nu. Mais quand mon Maître n'était pas de bonne humeur – souvent –, il ne me laissait rien à manger et me condamnait parfois l'accès aux toilettes. Alors je devais attendre son retour pour subvenir à tous mes besoins naturels. Seulement, il arrivait qu'il ne rentre pas de plusieurs jours... Quand il revenait, j'étais dans un sale état, mon corps mis à mal par tous ses manques que j'étouffais avec toute ma volonté. Ainsi, je faisais toujours la fête à Lawliet lorsqu'il était de retour, fou de joie et de soulagement. Au bout de trois jours, j'eus le droit à la douche. En son absence, je devais faire le ménage. Il me punissait quand ce n'était pas bien fais partout. Et sachant que la corde ne me permettait que des déplacements limités... Quel adorable sadique il faisait. Sans ironie. Parfois, quand il était là, Law me détachait pour que je puisse lui faire à manger et me soumettre à ses pulsions sexuelles, bestiales.

Pendant un mois entier, je ne vis personne d'autre que Lawliet. Je brûlais d'envie de voir October, désespéré. Il ne venait pas me voir. Il n'y avait que Lawliet... Une sorte de petite routine finit par s'installer. Tout redevenait comme avant. Entre temps, mon Maître était allé chercher mes effets personnels chez son prédécesseur, Steven. Ainsi, je repris possession de mon ordinateur – quoiqu'il me le confisqua –, de mes souvenirs du lycée – ça aussi –, de mes livres, de mes chaussures et vêtements « normaux » – mais ils ne me servait pas vraiment puisque je vivais nu –, de tout mon nécessaire de toilette et autres produits de beauté, de mes tenues sadomasochistes toutes de cuir clouté et très déshabillées, de mes chaussures à talons – bottes ou escarpins – , de mes sex toys divers et variés et autres jouets sexuels, de mes accessoires de torture érotique, de ma laisse et de mon collier de molosse. J'étais bien content de retrouver ce dernier, rassuré par sa présence autour de mon cou d'esclave.

Vint le moment où je pus ressortir. Certes mes expéditions se limitaient à faire les courses, mais cela me permit de me dégourdir les jambes. Mais, paranoïaque et de peur que je l'abandonne encore, Lawliet me drogua comme il l'avait déjà fait auparavant : cocktail héroïne + ecstasy cette fois, pour que je sois dépendant de lui. Un jour, il me laissa sortir alors que mon esprit était très, très, très loin au-dessus de la terre. Je rencontrai Steven. Il m'attira sans problème chez lui et me séquestra. Je mis une dizaine de jour avant de pouvoir recontacter Law, en cachette. Il tua Steven et me reprit avec lui. Law avait tué pour moi. Était-il donc si accro ? Ou fou ? J'avais peur.

Il finit par réinviter des gens chez lui. Haan ! Dieu que j'aimais lorsqu'il invitait ses amis mafieux, les plus cruels ! Je le suppliais même parfois de les appeler pour venir. Car qui dit bande de potes sadiques et méchants, dit humiliations et punitions. Et moi, j'adore les punitions collectives et les humiliations publiques ! C'est tellement excitant ! Law leur interdisait de me caresser ou de prendre, mais c'est avec euphorie que je leur présentais mon corps sensuel et débridé pour qu'il me fasse du mal ou m'avilissent. Je tombais alors dans un océan de brimades dont je me délectais. Même lorsqu'il s'agissait, après une « douche dorée », de lécher l'urine de mes tortionnaires sur le sol, je ne bronchais pas et m'exécutais docilement, subissant consciemment leurs moqueries. Mais au moins, j'étais le centre de l'attention, n'est-ce pas ? Et puis, c'était si humiliant que j'en avais des frissons de plaisir.

Cependant, la rébellion me saisit et je m'enfuis. J'allai dans la maison de campagne de ma famille où mes parents et October passaient les vacances. Ils furent très surpris de me voir réapparaître après tant de temps. Ma mère, folle, me recouvrit de mille attentions étouffantes. Quand j'y pense, son attitude était presque incestueuse... J'avais toujours aussi peur d'elle, mais je restai. Pour October. Il me rejetait toujours, cela n'avait rien changé... J'aurais tellement aimé être lié avec lui... Mais malheureusement, je ne l'étais point. Alors pour combler cela, je faisais tout mon possible pour me rapprocher de lui, mais rien à faire. Je n'étais rien pour lui.

Lorsque je revins à Londres, Lawliet était à l'hôpital. Officiellement, c'était pour un accident de voiture. Officieusement, c'était une tentative de suicide : il avait volontairement foncé dans le mur. Pour moi. Aussitôt, la culpabilité me dévora sans pitié. J'allai le voir, il me rejeta violemment et me menaça de mort si jamais je m'avisai de revenir. Voilà. J'étais seul. Le cœur à vif et l'esprit en déroute, je déménageai mes affaires et appelai au hasard un ami de mafieux de Law, un certain Mark. Il accepta de m'héberger en échange du récit de ce qu'il s'était passé. De même que je devais lui servir de cuisinier. Mark était hétérosexuel, ancien snipper et d'une gentillesse étonnante avec moi. Il ne faisait pas partie des sadiques précédemment cités. Mark ne me voulait pas de mal. Il me trouva un métier de mannequin et m'aida même à renouer avec Lawliet ! Ah ! Comme je lui en étais reconnaissant ! Il fut mon premier véritable ami, je crois. Le temps que je ré-emménage chez mon amant après sa sortie de l'hôpital, je restai chez Mark.

D'un autre côté, en temps que mannequin, mon succès grimpa très vite. Vraiment très vite. Mon allure inhabituelle, mon air sauvage et mon érotisme à fleur de peau intéressèrent vite les grandes marques prestigieuses et, me prêtant au jeu, je posai pour elles. J'attirais les regards. Je faisais vendre. J'étais beau. J'étais sensuel. J'étais docile. J'étais une égérie idéale. Ça me faisait toujours un peu bizarre de voir mon visage en grand sur les bus, les panneaux publicitaires, les magasines, les écrans géants ou à la télévision,... Des fois, j'en venais à penser qu'il ne pouvait s'agir de moi. Était-ce vraiment moi, cet éphèbe albinos au regard de braise et à la lascivité troublante qui me toisait avec élégance ou se déhanchait avec provocation ? J'avais du mal à y croire. De même qu'être accosté dix fois plus dans la rue, être invité aux soirées branchées, être dans les magasines people, être arrosé de cadeaux, être stalké par une poignée de paparazzi et être quelqu'un de connu tout simplement me laissait toujours très étonné, chaque jour, à chaque occasion.

Quand Lawliet sortit de l'hôpital et que je l'accueillis à la maison dans une tenue fort indécente, je le trouvai très agacé. Me voir à la télé et dans les revues l'avait déjà mis en colère, mais en plus, croiser à l'entrer du bâtiment un petit groupe de photographes fouineurs avait achevé de l'énerver. Je parvins à justifier mon nouvel emploi par mon compte en banque gelé par ma mère – qui avait décidé que tant que je ne reviendrais pas à la maison, j'aurais les vivres coupées – et par le fait que je n'avais plus de Maître pour m'entretenir à l'époque où j'avais signé mon contrat. Lawliet accepta ces raisons, miraculeusement, et nous pûmes faire l'amour à condition que je ferme les volets. Mon mafieux ne désirait pas que les magasines le montre en train de me baiser sur la table. En tout cas, il devint arbitrairement mon agent et contrôla ainsi ma carrière en commençant par m'interdire les sorties en boîte dans le carré VIP et autres soirées privées. Law ne voulait pas me savoir en train de me déhancher lascivement contre le corps d'un bel inconnu...

Que de souvenirs... Allongé sur le lit, j'esquissai un sourire nostalgique. Mes écouteurs d'iPod me retransmettaient Enter Me Now de Punish Yourself à fond. Je n'entendis pas la porte s'ouvrir et la surprise fut entière lorsque je vis ma mère entrer dans la chambre de Lawliet. J'ouvris des yeux ronds, arracha mes écouteurs de mes oreilles et cachai ma nudité derrière les draps noirs. Elle avait l'air en colère. Froide, elle lança :

« Malgré mes efforts, tu continues à te comporter comme un dépravé. Cela ne peut plus continuer, mon chéri. Cela suffit. Si cela ne tient qu'à ça, je vais t'éloigner de Lawliet. Je t'ai trouvé l'endroit idéal pour te ressourcer avec ton frère, en Suède. Tu iras à l’université là-bas, tu mettras ta carrière de mannequin entre parenthèses. »

Je restai interdit. Aller à l’université en SUÈDE ? C'était une blague ? ! Une vulgaire plaisanterie ! Ma mère avait dû croire bon de m'envoyer avec des « adolescents normaux » pour mon « bien ». Tss... La garce. Cependant, je ne montrai rien de mes émotions et lançai simplement :

« Je ne parle pas Suédois. »
« Eux parlent très bien anglais », rétorqua ma mère, catégorique. « Et avant d’y aller, tu me feras le plaisir d’aller en cure de désintoxication. »

Je préférai abandonner. De toute façon, Cleopatra était intraitable.


Spoiler:


Dernière édition par Nemaides P. River le Jeu 6 Jan - 0:19, édité 2 fois
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MessageSujet: Re: Nemaides ; Stray Dog.   Nemaides ; Stray Dog. EmptyDim 25 Avr - 19:59

J'adore la fin. J'ai bien ri quand tu as parlé de se "faire stalker" et comme d'habitude, tes écrits sont toujours aussi délicieux. GLY Les quelques petites fautes qui parsèment le texte sont vites oubliées par tes sublimes vers. (même si c'est trash à souhait et qu'on se dit qu'on est mieux à notre place)

Nemaides il faut le taper ! Fresse
Il reste quand même un point que je souhaiterais éclaircir : tu parles de Holly comme étant son Lié, il faut tout de même que tu parles un peu de sa personne, de la manière dont il influe sur la vie de ton personnage et enfin de votre rencontre. Puis il manque aussi le code, le merveilleux code qui t'ouvre les portes des âmes-sœurs :3 Rien ne retiendra ta validation après ça, sale chose. 8D
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MessageSujet: Re: Nemaides ; Stray Dog.   Nemaides ; Stray Dog. EmptyLun 26 Avr - 13:10

Oui, le code, je l'avais oublié celui-là D: Je l'ai donc ajouté et j'ai un peu rallongé le dernier paragraphe que je trouvais un peu maigrelet :3 Normalement, tout est bon ! GR4

Et merci beaucoup pour tous ces beaux compliments, c'est chou~ GK7
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MessageSujet: Re: Nemaides ; Stray Dog.   Nemaides ; Stray Dog. EmptyLun 26 Avr - 15:16

    Bon c'est parfait alors, cette superbe fiche est validée. <3

    Bon jeu Fresse (Quoi il a pas commencé réellement encore. Tss.)
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MessageSujet: Re: Nemaides ; Stray Dog.   Nemaides ; Stray Dog. EmptyJeu 6 Jan - 0:20

Voilà, éditée ♥
Edit : Rebienvenue par ici ! N'oublie pas d'aller lire ce sujet !
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MessageSujet: Re: Nemaides ; Stray Dog.   Nemaides ; Stray Dog. Empty

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