Il n'y avait rien de naturel dans ce que l'on éprouvait.
 
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 Ah, ouais, tu me disais quelque chose, aussi. [Allan]

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Mats N. Lindström
Mats N. Lindström
Sleepless


▪ depuis quand ? : 27/11/2010
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MessageSujet: Ah, ouais, tu me disais quelque chose, aussi. [Allan]   Ah, ouais, tu me disais quelque chose, aussi. [Allan] EmptyLun 29 Nov - 20:12


« Une pizza au saumon, une à l’ananas, du coca et un supplément en sauce. Tu livres ça et après c’est okay, t’as fini. »


Il sorti de la pizzeria. La nuit était froide et le vent s’insinuait par le col mal boutonné de son polo rougeâtre –strié de rayures jaunes et noires, il avait gracieusement échappé au sigle « PIZZA HUT » qui estampillait déjà sa casquette et son véhicule. C’était un scooter dont la couleur rouge vif semblait incapable de s’atténuer –même pas dans la nuit ou même par un opaque brouillard : tapageur, il luisait dans la lumière orage des lampadaires, chose que Mats prenait pour quelque chose de personnel.
Mais il y avait pire : la casquette noire, tordue et recroquevillée au fond de la poche de son sweat. La plupart du temps coiffé de son casque, il ne l’avait jamais mise, mais c’était selon lui, à l’instar de la peinture rutilante du scooter, un affront à sa personne, de le forcer à l’enfiler –alors quoi, lorsqu’il était censé la porter, il la tortillait machinalement entre ses doigts avec l’air vaguement nonchalant de quelqu’un qui va s’en servir d’une minute à l’autre. Il était presque entièrement convaincu qu’il allait trouver son lien en livrant des pizzas –alors quoi il avait toujours un pincement au cœur lorsqu’il était chargé d’en livrer plusieurs avec double ration, craintif de finir par épouser ce qu’il considérait comme des espèces de Susan Boyle locales - or, il trouvait que l’ensemble de Pizza Hut n’était fondamentalement pas ce qui faisait ressortir « sa délectable lascivité naturelle ». Alors quoi il s’arrangeait pour contourner avec le plus de subtilité possible l’uniforme imposé, chose finalement aisée puisqu’il passait plus de temps dehors qu’à l’intérieur même de la pizzeria : il frappait aux portes et trainait les bas usés de ses jeans jusqu’aux paliers des maisons fleuries du quartier résidentiel, ou gravissait les escaliers sales et poisseux d’appartements sordides où, systématiquement, des gamins aux t-shirts tâchés ouvraient la porte et s’accrochaient aux déchirures de ses genoux –qu’est-ce qu’il détestait les enfants ! Avec ses 1m95, il faisait souvent office de terrain de jeu, pour eux –et, plus généralement, il avait l’impression d’être une espèce de King Kong.

Il rabattit les pans de son sweat sur ses reins, retroussa ses manches et enfourcha son scooter. Le centre-ville était relativement peu animé ; c’était un jeudi soir banal et la circulation était suffisamment fluide pour que le trajet dure moins de dix minutes et pour que le vent brûle ses membres –maintenant il voulait juste que la journée se termine. Son job ne lui avait jamais posé de problème, outre mesure ; en fait, il ne se pensait pas capable de faire autre chose. Malgré sa grande taille, il n’était vraiment pas physique ; ses membres étaient trop maigres pour qu’il ait de la force et se fatiguer à la tâche était à l’opposée même de sa vision de la vie. Il avait arrêté ses études avant d’avoir obtenu ses diplômes et ne comptait vraiment pas s’y remettre : il n’avait jamais aimé ça –il avait adoré réfléchir à des plans foireux pour obtenir sa, disons, 3ème assiette de frites supplémentaire, passé ses matinées à l’infirmerie pour y lire les vieilles BDs qui faisaient office de distraction, trouver un coin du grillage suffisamment à l’écart pour être escaladé sans témoins, voir éclater une bagarre en plein milieu d’un couloir et y prendre part, se cacher dans les vestiaires du gymnase avec des filles en short lycra, mais définitivement pas étudier.

Il gara le scooter sans application et en sorti les cartons ; encore chauds et humides d’huile, ils émanaient une odeur d’olive qui, maintenant qu’il avait ôté son casque, lui envahissaient le nez et la bouche –il avait plutôt faim. Il arrivait que, parfois, vers cette heure-ci on lui offre une part : c’était souvent des gens seuls et occupés qui en avaient trop ou une bande de potes désirant se montrer amical. Il aimait relativement bien tomber sur eux ; ça lui collait simplement une vieille envie de jouer à la console chez lui pour la soirée entière. Ça ne risquait cependant pas d’être le cas ce soir –ce genre de mecs habitaient dans des apparts en plein centre-ville et pas dans ce genre de maisons bourgeoises.

Il foula alors la rangée de dalles de ses jambes malhabiles et s’avança jusqu’au porche et, son attention s’égarant un moment sur le reflet des néons sur l’herbe humide, appuya longuement sur la sonnette –c’était plus fort que lui, il AIMAIT le bruit.


Dernière édition par Mats N. Lindström le Jeu 2 Déc - 17:46, édité 1 fois
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Allan C. Lundqvist
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MessageSujet: Re: Ah, ouais, tu me disais quelque chose, aussi. [Allan]   Ah, ouais, tu me disais quelque chose, aussi. [Allan] EmptyMer 1 Déc - 18:18

"Dsl g la crève."

Et bien tu aurais pu avoir la décence de vraiment en crever. Ragea Allan en relisant le sms qu'il venait de recevoir.
Quand la luminosité de l'écran fut éteinte, il le rangea consciencieusement dans la poche du treilli noir qu'il venait de sortir de la machine. Les cheveux savamment en bataille, et la multiplication vestimentaire accommodée sur ses épaules (t-shirt, sweat, veste en cuir), il laissait deviner par une simple œillade d'autrui que môsieur, ce soir, comptait sortir, et autre part que chez les riverains.

Pour pousser l'analyse, s'il revêtait ce code d'habillage un peu dégueulasse c'est surement qu'il allait rejoindre un ami, en effet cela semble une pure invention des adolescents de s'évertuer à jouer au lego avec ses habits plutôt que de s'acheter un manteau. Le manteau c'est pour se la jouer élégant, dans le style je vais t'inviter au café et pleurer en te parlant des œuvres d'un artiste-au-choix-avec-des-cheveux-longs.
Du moins de l'avis d'Allan c'était le cas. Du coup ce soir, pas de manteau. S'il devait flirter, il aurait pu compter sur son regard de braise (alimenté par le désir animal de procréer) pour séduire la femelle en quelques vaporisations de testostérones (pas évidentes à trouver quand on a tout de même une oreille percée).

Quoiqu'il en soit son poto le laissait en plan, alors que sa bienveillante délicatesse venait de le faire commander des pizzas. Bien lourdes bien grasses. Le genre que seul les blondes dans les pubs ont l'air sexy en les mangeant par petits bouts hypocrites, qui mange une pizza par petits bouts? De plus, il faut savoir que la pub prise elles doivent recracher ce qu'elles ont osé mettre dans leurs jolies bouches. Moins attirant du coup. Vous imaginez Britney Spears gerber une pâte rougeâtre du bords de ses lèvres glossées? On accordera que c'est assez irréaliste, Britney aurait plus tendance à avaler n'importe quoi.
Par contre Allan lui était sexy, enfin il se disait qu'il aurait été très sexy ce soir s'il SORTAIT. Il était bientôt plus de 22h, et il n'avait aucune envie de croiser sa très chère petite sœur si elle rentrait avant lui, beurrée et accompagnée d'un connard du genre...du genre tous les connards qu'elle ramenait.
Un mec qui se tape votre sœur, demie-sœur, même si vous l'aimez pas, c'est un officiel connard, encore plus s'il la sautait dans VOTRE maison. Sans quoi on peut supposer que vous êtes en train de vous asseoir où ce toujours-connard a déversé sa semence dans une petite part de vous.
Bon c'était complètement dégueulasse et paranoïaque comme réflexion, mais Allan était énervé, très. Il allait quand même pas rester là avec ses mèches shampouinées devant la télé?

Ô malchance, il maudit cette traitresse et retira son veston en se remémorant sa liste de contacts. Cet exercice mental fut écourté par le retentissement de la sonnette. L'insistance du connard (encore un? Disons crétin), du crétin qui venait de poser ses doigts grassouillets dessus, éleva d'un cran son agacement. Il descendit à pas rapides sur le pas de la porte qu'il ouvrit à la volée, les yeux flamboyants (non pas de désir) de haine.

"Ah! C'est vous, enfin toi...et mais toi je te connais non?"

Retournement de situation, le pizzeria-man était jeune, pas vraiment grassouillet, mais surtout il se trouvait être un éventuel contact.

"Ah c'est cool ça fait longtemps nan? Enfin je connais pas ton nom je sais plus, moi c'est Allan tu vois? J'ai laissé mon porte-monnaie à l'intérieur vas-y pose-toi deux secondes, t'as du temps?"

Il lui prit les pizzas des mains, là ça aurait été des plus comiques s'il lui avait fermé la porte dans la tête, mais plaisant Allan laissa la porte ouverte en invitation. Le gène méditerranénen-desperate-housewife qui vous pousse à même inviter le facteur prendre un café, et à s'envoyer en l'air avec éventuellement si vous êtes la femme d'un vieux salarié bourru qui ne vous a pas touché la main depuis l'accouchement de votre dernier fils ( il a 35 ans aujourdh'hui).
Il continuait à causer en se dirigeant vers l'endroit habituel où aurait dû se trouver ses sous. Aka le tiroir du secrétaire près de sa chambre, mais...

"Oh la pute."
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Mats N. Lindström
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MessageSujet: Re: Ah, ouais, tu me disais quelque chose, aussi. [Allan]   Ah, ouais, tu me disais quelque chose, aussi. [Allan] EmptyJeu 2 Déc - 18:52

Mais comment est-ce que ce type s’appelait ? Ils se connaissaient, ouais : il aurait cependant été incapable de dire depuis combien de temps et d’où. Il était certain de l’avoir en ami sur Facebook. Et éventuellement d’avoir trainé quelques heures avec lui, le temps d’un après-midi...Il avait dû noyer son prénom parmi celui des autres. Il hocha alors la tête, l’air passablement perplexe –il sentait la bouteille de soda glisser de ses doigts glacés et le mec n’était visiblement pas pressé- quoique légèrement excité : peut-être l’aurait-il finalement, cette foutue part de pizza.

- Plus ou moins, ouais. Acquiesça-t-il de sorte d’avoir une marge dans le cas ou Allan se serait révélé être une espèce de fan de dauphin psychotique –quoique c’était mal parti. Il imaginait mal un fan de dauphin porter un sweat aussi cool. Il ajouta au passage : Et je suis Mats.

On lui ôta la nourriture de ses mains et il en profita pour ébouriffer ses cheveux d’un geste leste, craignant secrètement que le casque de son scooter n’ai nuit à la non-coupe qu’il s’efforçait d’entretenir. Après quoi, comme Allan était rentré à l’intérieur, il le suivit sans trop d’hésitation, Mats n’étant pas le genre de personne à s’embarrasser de politesse : il enfoui ses poings dans les poches de son jean, les sourcils haussés, et le suivi du regard. La maison dans laquelle il évoluait était jolie bien que les goûts de Mats pour la décoration restaient superficiels : son appartement lui-même n’était constitué que de murs blancs et de lattes de parquet craquantes et défoncées contre lesquelles il se butait fréquemment les pieds –« MAIS LEVE LES PIEDS QUAND TU MARCHES, MATS ! -et, redresse-toi, bon sang !» Rugissait sa mère lorsqu’ils habitaient encore ensemble (mais combien de temps cela faisait-il ?). Ses rares efforts de décoration étaient considérés par la plupart de ses visiteurs comme des échecs : personne n’aimait les tableaux Bob L’éponge ou les couvre-lits en plumes.

- Donc, Allan, tu dis ? Fit-il avec un demi-sourire, à la manière d’une espèce de défi plutôt inutile : il le fixait maintenant avec curiosité et perplexité .Il devait mesurer une quinzaine de centimètres de moins que lui mais était également nettement plus musclé : c’était un assez beau garçon du reste, quoiqu’il se prétende incapable de juger ce genre de chose. Il était bien habillé et c’était assez surprenant pour une heure aussi tardive : il regardait alors avec plus d’intention ses vêtements pour enfin tiquer, en voyant le t-shirt tendu sur son torse : il avait fait sa scolarité avec ce mec. Allan Lundqvist, le gay qui n’assumait pas et se tapait les plus jolies filles de l’établissement. Monde injuste.

- Oh, putain ! Ricana-t-il alors que ce dernier jurait également, en direction de la secrétaire cependant. Il rit encore quelques temps avant de s’approcher et de lui et de passer son bras autour de ses épaules, se légèrement vouté pour se faire entendre convenablement :

- Mec, tu m’as volé ma copine !

Ni ça ni l’absence d’argent ne l’inquiétait visiblement. Il était resté quelques semaines avec cette fille avant qu’elle ne casse brusquement sans trop lui expliquer pourquoi –il s’avérait qu’elle était dingue de ce type. Il ne savait pas si Allan avait donné suite, mais ça l’avait clairement dégouté sur le coup –et puis maintenant il riait, fondu sur Allan et vraisemblablement aveugle aux protestations qu’il aurait pu avoir :

- Je comprenais vraiment pas POURQUOI. Je veux dire...tu n’es pas réellement hétéro si ?

« J’ai des potes qui se sont foutus de moi pendant des mois après ça », songea-t-il vaguement, sans le prononcer à voix haute cependant : il ne désirait pas être black-listé dès sa première visite ici. Il souriait toujours, les lèvres étirées comme prêtes à rire d’une minute à l’autre : il lui en fallait peu et il était plutôt fatigué. Aussi il regrettait d’être vu dans des vêtements pareils mais ça ne l’empêchait pas de continuer à ricaner.
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MessageSujet: Re: Ah, ouais, tu me disais quelque chose, aussi. [Allan]   Ah, ouais, tu me disais quelque chose, aussi. [Allan] EmptyDim 5 Déc - 19:43

Oh la pute était ce qu'il avait trouvé de plus aimable pour décrire son ressentiment.
Comme il s'apprêtait à payer ce gentil Mats (non pas en nature vu que contrairement aux dires de celui-ci, il n'est pas gay), malheureusement sa cagnotte était tristement vidée, et un coup pareil ça ne pouvait être que son ingrate de sœur.
Ah la truie, il aurait dû s'en douter qu'elle allait lui sucer le sang pour pouvoir ensuite payer ses cochonneries (dans tous les sens du terme) et sucer le sang d'autres malheureux crétins (cela étant dit, bien fait pour eux). Pas d’argent, pas de pizzas, mais les pertes de celles-ci n’était pas vraiment ce qui allumait l’envie d’étrangler la fautive avec une écharpe qui gratte.
Pas un seul instant Allan songea qu'il pouvait s'agir de sa mère ou de son demi-papa qui prit d'un besoin urgent avait pioché dans la réserve de la chair de leur chair.
Non pas un seul, sur ce fait il plongea sa main dans sa poche pour dégainer son pôrtâble, sauf que Mats était devenu un peu gênant par son accolade amical, de ce fait le geste se trouvait plutôt difficile à réaliser.

"Hein? ta co-copine? Euh, il eut un temps de réflexion, des pseudo-copines il y en avait eu un joli défilé pendant une période (celle où tout le monde fait exploser le vilain bouton chaque matin), mais de là à se souvenir de qui il s'agissait, mais bordel si je suis hétéro!" S'écria-t-il vexé, se détachant de l'étreinte si amical de son pizzaman, il l'aimait bien jusque là mais jouer avec les cordes sensibles dès leur nouvelle rencontre n'était pas des meilleures choses à faire.

"De ma vie je ne me suis jamais tapée que des meufs, dont la tienne si tu le dis. Désolé hein."

Railla-t-il bougon en sortant donc son cellulaire pour tapoter un numéro.

"Et, bip, j'ai pas d'argent en fait, bip, va falloir passer à un distributeur, bip, on y va ensemble, bip, en fait je cherchais quelqu'un pour sortir ce soir, bip, ça te dit? bip bip bip bip."

La tonalité couvrit à demie la réponse de Mats, pas qu’il s’en fichait mais il avait à faire.

« Juste deux secondes excuse-moi. »

Glissons-nous dans le joyeux monde des discutions téléphoniques solitaires. Alors que le répondeur de sa charmante petite sœur s’enclenchait, tout le ressentiment concentré en une boule infâme au coin de sa gorge explosa et se déversa sur sa langue.

« Salut Luna, bon t’es vraiment chiante, la prochaine fois que tu me prends mon fric comme ça j’te jure que je te fais bouffer les colorations que tu te payes par les trous de nez, t’as pas l’impression d’un peu abuser là ? Tu pouvais pas demander de l’argent à ton père ? J’suis pas ta tirelire, encore moins quand tu demandes pas pauvre conne. Et tu pourrais répondre à ton portable parfois ça sert à ça tu sais qu’on te paye un abonnement, tu me rembourseras tout demain, d’ailleurs envoie-moi un message quand tu rentres, j’ai pas envie d’avoir des mauvaises surprises, celle-là était déjà pas mal. »

Biiip. Bon ça c’est fait se souffla-t-il en rangeant l’arme du crime. Il avait retenu son langage pour cette fois-ci, préciser quelle genre de mauvaises surprises auxquelles son moral avait été confrontée dans le passé aurait été des plus mesquins devant un inconnu. Bien que celui-ci ne se souciait peut-être pas de la réputation en carton-pâte de la cadette Lundqvist Johnsson. Remplacez le "o" par un "i", retirez le "r", et devinez par quelle joyeuse lettre le "â" sera-t-il confondu.

« Bon du coup pour les pizzas...T'as faim?»
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