Il n'y avait rien de naturel dans ce que l'on éprouvait.
 
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 Absynthe ~ Il fait froid par ici.

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Absynthe
Absynthe
Never There


▪ depuis quand ? : 31/07/2010
▪ conneries : 124
Féminin
▪ venue au monde : 20/03/1990
▪ et l'âge ? : 34
▪ localisation : Hmm.
▪ groupe : Never There
▪ humeur : Silencieuse

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MessageSujet: Absynthe ~ Il fait froid par ici.   Absynthe ~ Il fait froid par ici. EmptySam 31 Juil - 22:16


© Trixypixie
nom du personnage ; McQueen
prénom(s) du personnage ; Seven « Absynthe »
âge du personnage ; 20 ans
date de naissance ; 20 mars 1990
groupe ; Sleepless
lié(e) ; /
son origine ; Née Américaine, d’origine Suédoise
sa nationalité ; Double nationalité américaine/suédoise
son occupation ; Etudiante en médecine, deuxième année

Histoire


« Nous sommes tous des cas Freudiens. »
« Ou pas. »
« … »


« Maman, je veux une nouvelle Barbie. »

Non pas qu’elle aime spécialement les Barbies, la petite garce. Elle les déteste. Ce sont des jouets inutiles, des produits de la consommation. Mais comme toute petite américaine chieuse de base, elle consomme. Elle est comme une abeille qui passe de fleur en fleur et qui se fout royalement de savoir si elle a ravagé les fragiles pétales du végétal en se servant. Elle court, elle volette, elle ennuie, elle parle fort, elle saute, elle crie, elle demande, elle oblige, elle ne veut pas se coucher si elle n’a pas sa Barbie. On la lui promet. Elle va se coucher.
Où sont-elles, ses Barbies ? Vous trouverez peut-être un bras ou une jambe traînant ici et là. Et encore, c’est pas tout à fait certain. Elle plonge dans son lit inondé de peluches laissées à leur sort, abandonnées après quelques semaines de câlins acharnés.
Seven, ce ne sont pas vraiment des câlins, qu’elle fait. Ce qu’elle fait, c’est serrer ses bras autour de quelque chose, à la recherche d’un peu de ce qu’ils appellent tous « l’amour ». Oui, un peu « d’amour ». Mais elle n’a jamais rien ressenti de tel, quelle que soit la poupée, quelle que soit la personne.

« Dis, pourquoi tu pleures ? »

Seven, à l’école, elle s’amuse de tout. Elle montre à tous les autres qu’elle est la plus forte, la plus belle, la plus intelligente, et qu’elle les surplombe, et de haut. Elle leur fait croire ce qu’elle veut. Certains enfants pensent qu’elle est orpheline, d’autres qu’elle torture les petits chats à la tombée de la nuit. Elle rigole, elle rigole de tout cela, qui la connaît, qui a envie de la connaître ? Ils sont tous petits, gros et cons. Même la maîtresse.
Elle ne les aime pas ; c’est juste ça. Elle continue de courir partout en criant et réclamant, sachant pertinemment qu’elle obtiendra ce qu’elle désire. Un jour, elle veut les crayons d’un garçon. Il ne veut pas. Elle le prend dans ses bras et le serre jusqu’à ce qu’il étouffe, comme elle le fait si bien avec ses poupées. La maîtresse parvient à la maîtriser alors que le visage du garçon était devenu livide. Quand Seven se retourne, emmenée par la maîtresse dans le bureau du directeur, elle voit une petite fille qui pleure au-dessus du garçon aux crayons.

« Mais je m’en fous, de ça. »

Elle ne va plus à l’école. Elle est exclue pour quelques mois. Le garçon est à l’hôpital, et n’a toujours pas été réanimé. Il n’est pas mort, mais a subi un tel traumatisme qu’il reste dans un état de semi-conscience dont il ne peut sortir. Mais Seven s’en fout.
Elle continue de martyriser les Barbies dans son coin. Elle profite de ses vacances impromptues pour visiter la maison de fond en comble. Ses parents n’essaient même plus de l’arrêter. De toute manière, elle trouvera toujours un moyen de leur échapper. Elle est si intelligente. Et le pire, c’est qu’elle le sait, et qu’elle en profite, la petite garce. Elle se croit supérieure car elle est supérieure. Et elle se gonfle d’orgueil. Elle continue de faire ce qui lui plaît.
Un jour, elle prend des céréales à deux heures du matin. Elle entend sa mère chuchoter avec son père. Ils ont l’air de s’engueuler. Ils l’ont oubliée. Elle se promène dans la grande maison, et ouvre la porte du bureau de son père. Elle n’a jamais le droit d’y entrer. De toute façon, il est toujours fermé. Mais pas aujourd’hui. Elle entre, et trouve ces papiers éparpillés. Des feuilles de crédit, de devis, de dûs… Elle comprend parfaitement que ce sont les problèmes de ses parents. Mais elle n’en a que faire. Il n’y a rien d’intéressant dans le bureau, finalement. Elle referme la porte avec dédain, et retourne dans sa chambre.

« Je vous connaissais ? »

Mais elle en veut à ses parents. Elle leur en veut tellement qu’elle échafaude des milliers de plans où elle imagine qu’elle les tue, qu’elle s’en débarrasse, qu’ils ne sont pas ses parents, juste d’idiotes petites poupées qui n’ont jamais cherché à la comprendre. Elle s’enferme dans un mutisme jusqu’alors inconnu de ses proches. Où est passée la gamine insupportable qui hurlait aux quatre coins de la maison, du village, et qui martyrisait tout le monde pour son plaisir égoïste ? Envolée, partie, c’est une poupée de cire à présent, plus inexpressive que ses Barbies mutilées. Et ses parents s’affolent, la gavent de médicaments, l’emmènent chez des psychiatres incapables de comprendre la source du problème. De toute manière elle est plus intelligente qu’eux. Elle comprend tous leurs trucs, et elle sait comment les détourner. Tout simplement en gardant les lèvres hermétiquement closes. Et plus elle garde ses lèvres fermées, plus ses parents restent interdits.
Un jour, ils reçoivent un coup de téléphone. Il y a trop de coups de téléphone ces temps-ci. Seven ferme les yeux et met sa tête sous l’oreiller. Elle entend sa mère qui rentre dans la chambre et ouvre son armoire. Elle ne bouge pas. Puis, elle entend la femme qui lui ordonne de se lever. Seven s’exécute, et suit l’adulte dans le couloir. Ils la foutent dans la voiture à côté d’une grosse valise. Ils filent jusqu’à l’aéroport, et avant qu’elle dise ouf, la voilà dans un avion. Direction : la Suède. Et ses parents lui ont à peine dit au revoir. Elle n’a pas eu le temps de prendre un seul jouet.

« Enjoy the Silence. »

Quand elle arrive, c’est froid et blanc. Un vieil homme est venu la chercher. Son grand-père, paraît-il. Elle le suit placidement. Il est gentil avec elle, mais pas très bavard. Sa grand-mère est morte. De toute manière elle ne l’a jamais connue. C’est la première fois qu’elle rencontre son aïeul. Elle ne s’attendait pas vraiment à mieux. Elle l’observe en silence, ce vieux dur comme un roc, ce paysage glacé, cette petite maison enchâssée dans un coin de forêt. Ici au moins elle sera au calme.
Elle s’installe dans une petite chambre avec une cheminée. Dans la maison, il y a deux chambres seulement. C’était la chambre de sa mère. Si c’est le cas, il n’y en reste aucune trace. Le vieux fait bien la cuisine. Il ne la saoule pas, et l’aide à faire ses devoirs en Suédois. Elle n’en connaît pas un mot, mais elle apprend vite. Très vite. Trop vite. Elle lit le dictionnaire en quelques nuits, le livre de grammaire les suivantes, et trois mois plus tard elle a le vocabulaire de base d’un enfant de son âge. Sauf qu’elle continue son mutisme écrasant.

« Et puis Il était là. »

Seven grandit. Quand elle est arrivée en Suède, elle a fait croire à tout le monde qu’elle s’appelait Absynthe. Et tout le monde y a tellement cru que même les profs se corrigent d’eux-mêmes quand ils font l’appel le matin. Désormais, personne ne sait qui elle était et pourquoi elle est là. Elle est juste là, présente, unique, réelle, intouchable. Elle reste silencieuse et analyse chaque situation se portant à son regard. Personne ne peut sonder ses grands yeux de velours, personne ne sait si elle nous juge ou si elle se gausse simplement de nous. Elle est d’un calme à en crever, elle a toujours les meilleures notes, elle parle mieux le Suédois que nous. Elle est plus belle que toutes les filles du collège et du lycée réunis. Oui, parce que la ville est petite, et les classes sont petites, et tout le monde connaît tout le monde. Enfin, presque quoi.
Et un jour, le regard cerné de noir de la jeune fille de quinze ans s’échoua sur un petit être recroquevillé dans la cour. Elle connaît par cœur toutes ces histoires de Liés et tout ça, et elle n’en a que faire. Elle sait que c’est autre chose, quelque chose d’encore plus fort que ce soi-disant Lien. Elle sent que ce n’est pas une indéfectible attirance qui la fait marcher vers lui, mais c’est seulement une profonde envie de le connaître. Non non, ce n’est vraiment pas la même chose. En tout cas, pas comme on lui a expliqué. C’est encore plus fort que le Lien, car elle sent que ce sont ses propres sentiments qui parlent.
Elle lui tapote l’épaule. C’est un garçon, plus jeune qu’elle. Elle pense l’avoir déjà aperçu chez les plus jeunes. Et alors, elle lui parle. Elle lui demande son prénom. Autumn, répond-il.

« Ensuite, il n’y avait que Lui. »

Absynthe fait croire qu’elle a une vie sociale. Elle s’entoure de pseudos-amis pour pouvoir se consacrer uniquement à Autumn. Il n’y a qu’Autumn qui sache qu’elle s’appelle Seven. Même, parfois, il l’appelle comme ça rien que pour l’énerver. Autumn, il est beau, tristement beau, il est détruit, il est d’un cynisme grinçant. Un peu comme elle ; mais elle ne connaît pas vraiment la raison de sa destruction. Il peine à lui dire. Il la jette. Il ne veut pas repondre a ses questions stupides. Mais elle tient bon, et elle apprend que c’est parce qu’avant, il était Lié. Que c’était juste magnifique. Et qu’elle est partie.
Quand elle finit par savoir toute la vérité, Absynthe ressent un vide. Non pas qu’elle soit déçue ou jalouse. Mais elle l’a tellement fait chier qu’il lui a tout raconté. Tout. Tout les problèmes qu’il a enduré depuis la découverte de son lien jusqu’à aujourd’hui. Il est quatre heures du matin, ça fait trois heures qu’il parle. Et Absynthe, pauvre glaçon, Absynthe ne parvient pas à pleurer. Elle regarde ce jeune homme qui vient de lui conter placidement sa descente en enfer, comme si de rien n'etait. Et alors, doucement, elle le prend dans ses bras.
Ils grandissent ensemble, bon an mal an. Ils s’aiment d’une façon étrange. On les voit souvent tous les deux, mais ils ne semblent jamais parler. Ou alors a voix basse, comme s'ils se contaient des secrets; mais à l’abri des autres, les regards qu’ils se lancent sont comme ceux des naufragés observant leur bouée de secours. Les étreintes qu’ils échangent sont longues, longues. Parfois il vient dormir chez elle et ils passent la nuit enlacés.
Au fur et à mesure, tout le monde pense qu’ils sont Liés. Ce n’est pas vrai, et ils s’en foutent. Non, même, ils en rigolent. Parce qu’ils crachent à la gueule de tous ces gens qui affirment qu’il n’y a pas plus fort que le Lien, parce qu’ils savent qu’ils n’ont pas besoin de Lien pour s’aimer ; juste s’aimer, très simplement. Pas de l’amour charnel ; c’est impossible. Il ne veut pas la prendre. Pourtant il pourrait, s’il le voulait. Elle serait même consentante. Ce serait juste des ébats parfaits ; ils savent tout l’un de l’autre. Ils n’ont même pas besoin de parler pour se comprendre. Elle est là, sur son lit, avec son grand corps gracile, ses cheveux courts et noirs, ses yeux de biche, avec ses vêtements troués et son iPod ; et puis il arrive, tout aussi brun, ses longs cheveux devant ses yeux, et il s’allonge sur elle, juste pour partager ses douleurs et ses souffrances avec elle ; mais jamais, jamais plus.
Parfois, elle se dit qu’elle l’aime. Et quand elle pense à ça, elle doit sûrement changer d’expression. Oh ! Infime changement, que personne, absolument personne ne pourrait remarquer ! Mais lui le voit, commence à lui faire entendre sans sourciller qu'il devine parfaitement ses pensées, et les voilà partis pour deux heures de combats verbaux et mentaux, ils s’ouvrent mutuellement leurs blessures, et plongent le couteau dans la plaie, et remuent jusqu’à ce que l’un des deux craque, et se jette dans les bras de l’autre, et qu’ils s’endorment comme ça, espérant que le lendemain ira mieux. Mais il ne va jamais mieux, alors ils continuent de regarder ce monde pourri, où Autumn se plonge jusqu’au cou.
Quand il n’a pas de client à baiser, il dort toujours chez elle, même s’il est défoncé. Le grand-père ne dit rien. Il est presque mort, et de toute manière lui aussi pense qu’ils sont Liés. Alors il laisse faire. Et puis, ce garcon si taciturne ne doit pas etre un mauvais bougre.

« Et puis Elle est arrivée. »

Elle. Les cheveux rouge feu, un caractère ardent, brûlant comme le soleil. Elle a un jour débarqué dans la vie d’Autumn, et elle ne voulait plus le lâcher. Elle. Evydence. Absynthe ne sait pas vraiment quoi penser d’elle. Elle l’a abandonné. Ce n’était pas sa faute, ils étaient jeunes, mais si elle était vraiment sa Liée, pourquoi a-t-elle laissé ses parents l’emmener loin de lui ? Peut-être parce qu’elle ne savait pas qu’Autumn souffrirait autant de son départ.
Et maintenant, elle arrive, bien des années plus tard, et elle l’accapare ? Il y a de quoi rire. Il y a franchement de quoi rire. Elle, Absynthe, qui s’est tant occupée d’Autumn ces dernières années, qui ne vivait que pour empêcher son cœur desséché d’exploser d’un coup, qui a pris soin de lui, qui est son amie la plus chère, celle qui le connaît le mieux, elle vaudrait moins que cette soi-disant Liée arrivant d’un passé qu’Autumn n’arrive même plus à reconstituer tellement il s’est pourri ? Oui. Elle vaut moins qu’elle ; elle vaut moins qu’elle car elle n’est pas Liée à Autumn.
Elle en est dégoutée. Toute leur relation existe encore, toujours aussi vive, mais Evydence fait une tâche sur le tableau. Cette fille n’est pas là par hasard, elle est là pour Autumn, sa Liée, son unique Liée. Mais si celui-ci la renie, que se passe-t-il ? Rien, rien, elle reviendra à la charge. Peut-être qu’un jour il craquera. Absynthe le connaît tellement. Un jour il en aura marre, ou alors elle lui balancera une phrase qui lui fera un choc électrique, et ce jour-là, soit il va se casser en deux, soit il va peut-être retrouver un peu de lumière. Et pour voir cette lumière, Absynthe attend, Absynthe espère. De toute manière, Autumn sait que sa porte, que ses bras sont toujours ouverts, même s’ils sont maigres, même s’ils sont faibles, pour le protéger contre la terre entière à la chaleur du feu.

« Je ne suis pas sentimentale. »

Personne ne connaît cette Absynthe. Même Evydence n’a vu en elle qu’une femme froide et cynique. Une femme qu’il est difficile de fréquenter, brillante, réussissant pleinement ses études de médecine sans vraiment se fouler, patiente, tellement patiente, car elle a une telle connaissance en la nature humaine qu’il ne lui suffit que d’un seul coup d’œil pour savoir si une personne en vaut la peine ; et alors elle viendra peut-être vous adresser deux ou trois mots. C’est un grand honneur.
Les nombreux garçons qui ont tenté de l’approcher se sont fait sèchement rabrouer. Il y en avait certains qui étaient sûrs qu’elle n’était Liée à personne ; ils voulaient faire un essai, voir si on pouvait avoir cette fille aussi froide que ce pays. Mais non, non, non.
Parfois, Absynthe se demande si elle est Liée. Si ça se trouve, son Lié est déjà mort. Ce serait bien. Et puis sinon, et bien il prend son temps pour apparaître. Elle se demande ce que c’est, d’être Lié. Vraiment Lié. Elle s’interroge. Est-ce plus fort que sa relation avec Autumn ? Est-ce que le garçon s’énerverait, serait jaloux, s’il apprenait qu’elle avait trouvé son âme sœur ? Non, certainement pas. Il lui balancerait certainement une petite remarque bien acide à laquelle elle répondrait sèchement. Autumn ne s'enerve jamais; elle ne l'a jamais vu énervé et elle n'a pas envie de chercher la petite bete. Elle sourirait a ses sarcasmes et se réfugierait entre les grands bras maigres de l'adolescent, qui la laisserait certainement faire.
Et si par malheur son Lien brisait tout cela ? Que ferait-elle, comment pourrait-elle l’aider ? Bien sûr, il n’y a pas qu’Autumn, et Autumn n’a pas qu’elle, il doit s’occuper d’Evydence, Evydence qui chute, qui chute petit à petit pour tenter de le rejoindre dans les abysses. La pauvre fille. Parfois, elle la croise hagarde dans une rue. Evydence ne la reconnaît pas. Absynthe la ramène jusqu’à chez elle (elle a forcé Autumn à cracher le morceau), elle la fait vomir, lui fait boire une soupe bien chaude de force, lui lave le visage, lui nettoie les coudes et ses bras amaigris par les garrots, elle la fout au lit et elle s’en va.
Elle n’a pas de compassion pour cette fille ; c’est juste qu’elle ne doit pas mourir. Mais ça, Evydence doit le comprendre toute seule. Si elle ne le comprend pas, elle est fichue, et elle emportera Autumn dans sa chute. Et vice-versa.


« On va dire que tu es la méiose, et que je suis la mitose.
-…
-…
-Hein ?? »





Spoiler:


Je préviens les gentils admins/modos/membres que je pars demain pendant quinze jours. Donc si il y a des modifications à faire, ce sera à mon retour. Bonnes vacances à tous! [Et encore bon anniv mon amûr, désolée d'avoir zappé T__T *sort le martinet*]


Dernière édition par Absynthe le Sam 14 Aoû - 20:29, édité 5 fois
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MessageSujet: Re: Absynthe ~ Il fait froid par ici.   Absynthe ~ Il fait froid par ici. EmptySam 7 Aoû - 19:39

Up <3

(et bisous de Cambridge avec un clavier qwerty <3)
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Lysiane Hearbson
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MessageSujet: Re: Absynthe ~ Il fait froid par ici.   Absynthe ~ Il fait froid par ici. EmptySam 7 Aoû - 19:52

Bienvenue demoiselle !
je ne peux prestemment pas m'occuper de ta validation vu qu'Autumn m'a parlé de certaines erreurs de cohérence dans sa relation avec Aby. Me concernant, je pourrais tout de même me faire toute petite et te conseiller de minimiser les dons de surdouée que possède ton personnage, parce qu'apprendre le suédois en trois nuits me semble très très peu probable. (surtout avec la langue qu'ils ont xD)
Les claviers qwerty, c'est le bien u_u
(Autumn te contactera par MP ou ici concernant les différences de points de vue que vous entretenez)
Bonnes vacances GR4
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MessageSujet: Re: Absynthe ~ Il fait froid par ici.   Absynthe ~ Il fait froid par ici. EmptySam 14 Aoû - 20:31

Les modifications sont terminées!! Si jamais d'autres détails vous turlupinent encore, don't worry, I'm back tomorrow <3
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Aurélien de Suresnes
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MessageSujet: Re: Absynthe ~ Il fait froid par ici.   Absynthe ~ Il fait froid par ici. EmptyDim 15 Aoû - 8:21

Eh bien je pense que je peux valider ta fiche.
Bienvenue sur Soulmates GH
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MessageSujet: Re: Absynthe ~ Il fait froid par ici.   Absynthe ~ Il fait froid par ici. Empty

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